2021 : Les Cathédrales de Jérémy Liron à la galerie Telmah, par Maryse Bunel.
« Le peintre et écrivain s’attache à des motifs comme le paysage et l’architecture. Il en dresse des portraits à travers un travail sur des volumes, des lignes, des rythmes, un temps. »
2021 : Une curieuse exposition à l’aître, par Laurine Bénard.
« on trouve des peintures sur toile, des sculptures en acier et des travaux sur papier. Des œuvres créées depuis 2009, la dernière série en date ayant été réalisée durant le premier confinement »
2020 : Armand Dupuy « lecteur » de Jérémy Liron, par Jean-Paul Gavard-Perret.
« La fragmentation (qui ne nie pas pour autant l’unité) permet la transgression de la frontière de la peinture mais à l’intérieure du cadre et non en dehors »
2020 : face à ce creux du regard, par Lionel Bourg.
N’empêche. Le doute règne. On se demande quelle respiration, quelle mort, même, et quelle catastrophe tremblent non pas derrière mais à l’intérieur, sous l’écorce ou l’épiderme des choses dont on ignorait à ce stade la dangereuse banalité.
2020 : Faire surgir la réalité, par Jean-Paul Gavard-Perret.
« Faisant voir à partir de la toile ce qu’elle montre et engage elle-même, Jérémy Liron déploie un autre lieu en une sorte d’acte poétique construit sur l’exécution d’une répétition de divers motifs. »
2020 : La densité de Jérémy Liron, par FL. GO.
« et pourtant la densité du regard est telle qu’elle imprime comme une présence vibrante sur ces toiles figuratives élégantes, d’une simplicité et d’un calme trompeurs »
2019 : Peggy Viallat-Langlois et l’adhésion dégagée de l’ombre, par JP Gavard-Perret.
« elle confectionne sa propre dentelle de couleur tandis que Liron la modèle de ses phrases »
2019 : Peggy Viallat-Langloy&Jeremy Liron, visagéités de la Vanité, par JP Gavard-Perret.
« Il y a là des expériences-sources où le crâne retrouve une forme de vie gravitationnelle en de tels principes créateurs. »
2019 : Une île, par Isabelle Bernini.
« Baignés d’une lumière intense, parfois ambiguë, les paysages de Jérémy Liron évoquent tout autant le présent que le souvenir. »
2019 : Habiter. Un livre de Sereine Berlottier et Jérémy Liron aux éditions Les Inaperçus, par Georges Guillain.
« la reprise quasi obsessionnelle de la même courte gamme chromatique qu’utilise ici Jérémy Liron forment une stimulante combinaison avec la grande mobilité et les incessants déplacements auxquels se livre l’écriture toute en relances et ruptures, en seuils, de Sereine Berlottier »