2021 : 26/06-2/01
Paysages, entre représentation et imaginaire
Vue de l'exposition Paysages, MAC de Montélimar, 2021.Entre rêver et réalité, par Camille Bertrand-Hardy in Paysages, Entre représentation et imaginaire. Les paysages naturels de Jérémy Liron sont atypiques dans son œuvre plus largement consacré à des vues urbaines, ils s’y inscrivent pourtant sans solution de continuité. Grand pin ou île dans une mer lisse, ils déclinent l’abstraction de monochromes verts ou bleus. Leur sujet est moins ce qui est représenté que la réalité de l’agencement...
2021 : 07/08-16/10
In the shade
Vue de l'exposition In the shade, galerie Eric Linard, 2021. Photo : Philippe Petiot.« On ne sait jamais des images qui semblent se dresser dans la vue, des moments qui nous retiennent, s’ils nous sont suggérés par une configuration du réel ou par ce que l’on y projette. A vrai dire, un tableau sous cet aspect est le mariage d’une prise de note ou d’une saisie du regard et d’une rêverie ou d’un fantasme. S’y rencontrent des ressemblances, des souvenirs autant que des partis-pris, des...
2021 : Jérémy Liron, sans fioritures, par Elisabeth Védrenne.
« Ni trop léchée, ni encombrée de signes, sa peinture respire la solidité, une certaine plénitude, et l’évidence paisible qui naît du sentiment de se sentir bien présent sur cette terre. »
2021 : La galerie Eric Linard accueille les œuvres de Jérémy Liron, par Franck Prévôt.
« Depuis de nombreuses années, il s’intéresse au paysage et à l’architecture. Et ses derniers travaux trahissent une attention particulière aux paysages de Provence, la côte varoise en particulier. »
2021 : Un goût de vacances, des saveurs d’été, par Caroline Bissière et Jean-Paul Blanchet.
« une vue très frontale d’un bâtiment dont on ignore la fonction, comme souvent dans ses paysages, mais dont le mur habillé de bois renvoie la lumière chaude d’une fin d’après-midi d’été »
2021 : Au-delà du regard, par Elisa Farran.
« Il peint des paysages anonymes et vides faits d’éléments d’architecture et de végétation et échappe à la monotonie en expérimentant par la matière peinture la présence du regard. »
2021 : Entre rêver et réalité, par Camille Bertrand-Hardy.
« Sous l’apparence d’une représentation neutre, l’artiste rend perceptible un écho de la place fantasmatique du naturel dans la vie contemporaine. »
2021 : Splendeurs méditerranéennes, par Pierre Morio.
« En grand format, ses paysages méditerranéens rêvés invitent à une contemplation indolente. »
2021 : Jeremy Liron, l’actualité des galeries, par Vincent Delaury.
« Comme toujours dans les peintures de Liron, aucune figure humaine n’apparaît et, par moments, une menace sourde semble même tapie derrière le bleu azur »
2021 : Éditorial, par Guy Boyer.
« Aller à Lyon pour découvrir « en vrai » dans leurs ateliers les nouveaux paysages peints par Jeremy Liron »
2021 : Ce que disent les paysages, par JP Gavard-Perret.
« Mais sa peinture paysagère dépeint moins le monde que le regard qui le surprend et le retient contrairement à ce qui se passe dans le monde où l’oeil virevolte. »
2021 : Les Cathédrales de Jérémy Liron à la galerie Telmah, par Maryse Bunel.
« Le peintre et écrivain s’attache à des motifs comme le paysage et l’architecture. Il en dresse des portraits à travers un travail sur des volumes, des lignes, des rythmes, un temps. »
2021 : Une curieuse exposition à l’aître, par Laurine Bénard.
« on trouve des peintures sur toile, des sculptures en acier et des travaux sur papier. Des œuvres créées depuis 2009, la dernière série en date ayant été réalisée durant le premier confinement »
2020 : 20/06-30/08
ce que nous gardons en mémoire après avoir cessé de regarder
« Ce que nous gardons en mémoire après avoir cessé de regarder » Le titre : c’est la définition que donne du paysage Gilles Clément. Définition qui articule donc le regard et la mémoire qui sont deux aspects essentiels de mon travail. Cette citation a donc le double intérêt pour moi d’introduire l’exposition en la plaçant sous le signe du paysage, qui est le titre générique d’une série de peintures que je poursuis depuis quinze ans et de l’extraire d’une appréhension technique réductrice en...
2020 : Armand Dupuy « lecteur » de Jérémy Liron, par Jean-Paul Gavard-Perret.
« La fragmentation (qui ne nie pas pour autant l’unité) permet la transgression de la frontière de la peinture mais à l’intérieure du cadre et non en dehors »