2018 : Jacques Truphémus et Jérémy Liron à l’affiche, par Marie-Noëlle Toinon
Jacques Truphémus et Jérémy Liron nous rappellent cette évidence dans une ode à la lumière : lumière brumeuse pour le premier, lumière verticale et méridionale pour le second.
2018 : Un enseignant du collège Asa Paulini expose au musée Dini, par Michelle Barraud.
Les paysages sans titre, déserts, en format 123×123 souvent recouverts de plexiglas (pour mieux parler de l’ouverture de la fenêtre sur le monde) appellent à la rêverie libre de lieu défini.
2018 : Les Silences de la peinture, par Sylvie Carlier.
Jérémy Liron peint essentiellement des paysages urbains où l’architecture lui permet de questionner notre perception de l’espace.
Entre la nature et le béton, ses espaces déserts, silencieux et intemporels évoquent le passage du temps.
2017 : 25/11 > 23/12
tacet
« Tacet » C’est par cette indication que John Cage introduit la partition de son célèbre 4’33’’. Le pianiste est à son instrument, en position d’attente, la salle mobilise un instant son attention à ce qui va surgir du silence ou s’en extraire, puis s’impatiente. La pièce sera composée de tout ce qui, un peu plus de quatre minutes durant, du plus ordinaire au plus ténu, viendra troubler ou habiter ce silence relatif, cette attente tendue. Faire taire l’instrument, installer le silence comme...
2017 : Jeremy Liron, les géométries venteuses, par Thierry Grizard.
Tel est le plan de réalité problématique de ces paysages anonymes et désertés par l’humain. Ils incarnent le débat du langage pictural avec lui-même. Ces paysages sont « intranquilles », ils en portent les stigmates. Est-ce pour autant de la peinture métaphysique, des paysages mentaux, des natures mortes d’architecture ? En partie probablement, cependant il y a surtout la prégnance du vide. Le vide physique : celui de l’absence d’habitants du lieu, mais également une poétique de l’ennui, de la déréliction.
2017 : Peintures et dessins d’artistes émergents français, par Claude Lorent.
L’occasion de découvrir le travail de dix artistes français non représentés par des galeries belges et donc quasiment inconnus chez nous.
2017 : 11/11>23/12
5×2+1
FR La galerie valérie Bach s'associe à Art [ ] Collector pour la première édition belge de l'exposition « 5x2+1 » en présence des artistes et des commissaires. Art [ ] Collector est une initiative de collectionneurs privés, Evelyne et Jacques Deret, visant à promouvoir chaque année deux artistes français ou travaillant en France et à valoriser leur travail grâce au soutien de leurs collectionneurs. Conçue en co-commissariat par Philippe Piguet et Valérie Bach, l'exposition « 5x2+1 » réunit une...
2017 : 10/11>14/01
Vendanges tardives
A côté, quand le regard se laisse aller à la contemplation d’autre chose, à la marge de l’action principale et du spectaculaire. A côté, quand une ombre projetée intensifie la matérialité d’un objet, d’un élément d’architecture. A côté, quand la pensée entre en intimité avec le réel. La peinture de Jeremy Liron procède par détours successifs. Le regard semble ricocher d’un point à un autre, libéré de l’attrait premier du réel, là où d’ordinaire l’action se trame. La quotidienneté entre en...
2017 : Voleur de feu N°8, Jos Roy et Jérémy Liron, par Dominique Boudou.
des fragments, des brisures de paysages intérieurs et extérieurs qu’on aura bien du mal à reconstituer. Elles disent l’indépassable énigme de notre condition d’être vivant, en des réalités qui s’emboîtent de travers et forcément trébuchent.
2017: Eloge de la vision périphérique, par Théo-Mario Coppola.
La peinture de Jéremy Liron est évocatrice d’un présent permanent, nourri pas la multiplication des images, perçues et vécues comme des instantanés. La vision périphérique s’impose comme l’indice d’une grande déambulation, à la recherche de l’absence, d’un signe caché, d’une forme surprenante.
2017 : nouvelles acquisitions de la Société Générale.
De son enfance à Marseille, il garde dans son imaginaire la présence imposante de l’Unité d’habitation de Le Corbusier, surnommée la Maison du fada
2017 : Les paysages : un grand classique modernisé et réinventé.
Ainsi, Jérémy Liron propose des œuvres urbaines, avec un penchant pour l’architecture de type Le Corbusier, mettant en valeur des formes et des paysages urbains de tous les jours en en faisant ressortir la beauté.
2017 : Elle et lui, l’ombre et la lumière, par Florian Rochet.
Jérémy Liron de son côté peint des espaces urbains, des architectures lumineuses, villas et arbres tortueux, sur fond de ciel clair.
2017 :
Mélancolie des paysages
On se souviendra peut-être de cette proposition d’Alberti concernant la définition du tableau et de ce qu’elle implique quant à la question de la représentation à la Renaissance. Outre l’idée que le tableau y serait une fenêtre ouverte, un cadre de visée sur le monde, c’est davantage à l’idée d’une représentation narrative (« histoire » étant ici à comprendre dans le sens italien de « storia » (récit) et non d’« historia » (histoire)) que pensait sans doute alors Alberti. Autrement dit, cette...
2017 : Le paysage en question, par Gilles Altieri.
S’il privilégie les bâtiments de notre quotidien, Jérémy Liron n’hésite pas à s’intéresser à des pièces iconiques de l’architecture moderne telle la Cité radieuse de Le Corbusier à Marseille ou la Villa Malaparte à Capri; mais dans tous les cas, il n’adopte jamais une attitude platement révérencieuse à l’égard du sujet photographié et s’accorde la plus grande liberté d’interprétation