2024 : Face mer et gros pinceau, par François Bon.

« Alors oui, cette question de la surface, de l’arbitraire du réel, de l’implacable juxtaposition de l’enfance et des balades, des raids de repérage avec appareil photo, juste ces coins de rue, ces coins de murs, ces arbres tors ou l’envahissement par les figuiers de barbarie, c’est bien de peinture qu’il s’agit. »

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2023 : Par les temps qui courent, par Mathilde Wagman.

« Si l’on essayait de décrire l’émotion qu’ils suscitent, on pourrait dire qu’il y a d’abord comme une sensation très forte de l’été. L’odeur du maquis, l’aveuglante lumière d’un soleil qui percute un mur blanc, les arbres et les cactus aux verts chatoyants, dont les masses contrastent avec l’architecture moderne de belvédères aux lignes droites. »

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2023 : Rivé au vague, par Thibault Bissirier.

« Le cadre est là pour circonscrire, la vitre pour éloigner encore. De loin, on n’y voit rien, sinon quelques percées obscures, des images comme des seuils, dont on s’approche, des trous de serrures par où l’on scrute pour voir ce qui se cache derrière. »

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