2019 : Habiter, par Stephen Dock, Zakarian-Navelet, Arnaud Maïsetti, Sereine Berlottier et Jérémy Liron, par Fabien Ribery
« De l’autre côté du mur, il y a tout à inventer, réinventer, réagencer dans le neuf et la mélodie des jours, seuls et ensemble. »
2019 : Habiter, texte de Sereine Berlottier, peintures de Jérémy Liron par Carole Darricarrère.
« Cela commence piano piano par une petite annonce dans un journal ou sur un écran mais pourrait aussi bien apparaître comme une disparition ; une maison est quelque chose qui fait surface dans le temps »
2019 : Il y a…, par Sabine Huynh.
« Enfin, « éclairant » le texte, il y a ce jaune-vert-lichen lumineux des maisons peintes par Jeremy Liron, qui donnent l’impression d’être sous-marines »
2019 : Sereine Berlottier & Jeremy Liron : Habiter, traces & trajets, par Eric Pessan.
« textes et images totalement autonomes dialoguent pour créer ensemble une troisième voie. »
2019 : Sereine Berlottier et Jérémy Liron construisent un livre à habiter, par Adrien Meignan.
« Ce serait finalement l’objectif de chaque livre, offrir un lieu où notre imaginaire peut vivre, se déployer et continuer à s’élargir. »
2019 : Jérémy Liron, Chronique, par Juliette Mantelet.
Ce qui fascine le peintre par-dessus tout ce sont les jeux plastiques entre une architecture purement géométrique composée de lignes, d’angles, de cubes et les gestes et matières du végétal.
2019 : Jérémy Liron : perception d’un vide inévitable, par Marie Zimberlin.
Il ne reste plus qu’à contempler, qu’à retenir un extrait de vie, un geste, peut-être celui de la feuille d’un arbre.
2019 : L’humble usage des objets, par Baptiste Vanweydeveldt.
C’est une somme d’unité discrètes qui constitue un corpus parfois hétérogène par ses formes, mais à l’image d’une République ne niant pas ses minorités comme valeurs ajoutées…
2019 : Jérémy Liron, parcours en « pente douce ».
Pas de personnes, d’animaux, de voitures mais des ombres portées, des lumières, des masses qui structurent l’espace : un arbre, une pelouse, un massif de fleurs donnant à ces œuvres un côté énigmatique.
2019 : Manipulations et interprétations de Mocos à la galerie du Canon, par PA.M.
Quant à Jérémy Liron, on retrouve ses paysages urbains et ses plantes méditerranéennes.
2019 : Vé, ces mocos…, par Daphnée Albert.
Photographie, collages, mais aussi peinture avec Jérémy Liron, qui de son côté introduit le végétal dans l’environnement urbain, pour des paysages banals réenchantés.
2019 : Vitalité de la scène contemporaine française, par Isabelle de Maisonrouge.
Les images arrêtées, les couleurs et la géométrisation des éléments accentuent cette stylisation qu’opère l’œil du peintre dans un univers à la Antonioni
2019 : Paysages, en échappées, par Alexandre Mare.
Ce n’est pas tant qu’une lumière ou qu’une ombre nous paraisse trop bleue, trop nette, trop sombre, ce n’est pas tant qu’elles soient vides de toute forme humaine ou animale, c’est qu’elles sont comme des décors en quête de personnages et que, derrière la vitre du tableau, nous ne pouvons être que spectateur, sans influence aucune. Cette temporalité nous échappe ; elle est en attente de fiction.
2018 : Collage stéréoscopique, par Niko Rodamel.
Peintre d’origine méridionale formé aux Beaux-Arts de Paris puis finalement installé à Lyon, Jérémy Liron répond à l’invitation d’Ella & Pitr pour son tout premier collage one-shot sur le MUR stéphanois, loin du cadre habituel des galeries, musées ou centres d’arts dans lesquels il expose habituellement son travail.
2018 : Jacques Truphémus et Jérémy Liron, les silences de la peinture, par Sarah Hugounenq.
La radicalité des paysages fragmentés de Liron confronte le regard tantôt à un mur, tantôt à la fuite.