2023 : Face à l’intouchable, par Arnaud Maïsetti.
« la peinture quand elle écrit, par la lumière liquide répandue, dans ses propres larmes qui donnent forme du monde qui s’efface quand on le donne à voir »
2023 : Pendant que la nuit tombe.
« Concevoir une exposition, c’est incliner à ces sortes de nouages. Cultiver en soi ces sortes de conversations, leur répondre ou en répondre. Cela n’a rien d’un discours ou d’une leçon. Il y est plutôt affaire de désirs et d’inquiétude. Ou, comme l’écrit John Berger, à propos du désir justement, d’un échange de cachettes. «
2023 : Voir en peinture, par Noémie Cursoux.
« Jérémy Liron peint des paysages qu’il perçoit souvent au fil de ses errances. »
2023 : Retourner le regard
« Peintre, écrivain, lecteur, Jérémy Liron ne cesse de quitter une branche pour une autre dans la forêt du sens, sans que cela relève pour autant de la dispersion »
2023 : Les archives du désastre.
« Le mot sidération, originellement, dit une influence soudaine des astres sur le comportement d’une personne, sur sa vie, sa santé : c’est bien une telle influence secrète que cherchent à approcher et à traduire les Archives du désastre. »
2022 : Meymac s’offre un calendrier de l’Avent monumental et participatif, par Chrystel Chabert.
« L’artiste nous plonge dans des paysages du Sud, peuplés de pins et de villas aux lignes « Le Corbusier ». On retrouve ce même sentiment de vide étrange et de mélancolie dégagés par les dessins éclairés du calendrier. »
2023 : Jérémy Liron, par Jean-Marc Salomon.
« De subtiles jeux de lumière se jouent grâce à la qualité variée de la gestuelle du peintre qu’est Jérémy Liron : dans le choix de ses couleurs et la manière de les poser, en choisissant de recouvrir la toile ou de la laisser nue à certains endroits. «
2023 : Pendant la nuit tombe, par Charlotte Debraine-Molina.
« La peinture de Jérémy Liron déconstruit la réalité qu’elle prétend représenter : chaque tableau devient alors un objet de contemplation et un support au rêve pour laisser le spectateur divaguer dans ses pensées. »
2022 : DES FIGURATIONS, par Marie de Brugerolles.
« Une contre-nature ou une nature en contrepoint est aussi à l’œuvre chez Jérémy Liron dont l’inspiration est souvent l’architecture moderne de la Reconstruction »
2022 : Retourner voir, par Anne Favier.
« Les dessins voilées d’un écran coloré – comme une résine – sont maintenus entre deux eaux, au seuil de toute visibilité. En écho au processus photographique, ils sont en instance de révélation. »
2022 : Se cogner au paysage, par Jean-Emmanuel Denave.
« Jérémy Liron a tiré non seulement le rideau, mais aussi les leçons du modernisme pictural : un tableau c’est d’abord et avant tout un ensemble de lignes, de couleurs, une surface qui représente moins qu’elle ne se présente elle-même. »
2022 : C’est la vie! par Marie-Agnès Charpin.
« Baignés par cette évidence, il s’agit pour Jérémy Liron et Frédéric Khodja de voir le monde autrement. Par conséquent, leurs œuvres ne sont pas une simple appropriation du réel. »
2022 : Frédéric Khodja et Jérémy Liron, par Jean-Emmanuel Denave.
« Frédéric Khodja et Jérémy Liron se partagent les murs d’une galerie-appartement pour un double regard sur le paysage. »
2022 : Le Promontoire du songe, par Jean-Charles Vergne.
« Il ne s’agit pas de livrer de la célèbre architecture un inventaire documentaire — les photographes s’en sont largement chargés — mais de trouver avec la peinture une résolution permettant de s’éloigner de l’image pour dévoiler l’épaisseur de mémoire portée par le site. »
2022 : Varia, par JP Blanchet.
« Les paysages de Jérémy Liron saisissent cette configuration à l’articulation du construit et du naturel, de l’ordonné et du sauvage, au point sensible d’interaction entre le lisse quasi monochrome de l’architecture, et le vif, le mouvementé, le contrasté de la nature »