2023 : Jérémy Liron, La géométrie dans tous ses états, par Gilles Altieri.
« En présence d’un paysage urbain de Jérémy Liron, le spectateur éprouve une sensation dérangeante, faite à la fois de familiarité, comme s’il reconnaissait le lieu, et en même temps de défiance, avec le vague sentiment que « quelque chose ne colle pas ». »
2023 : Abolir la ligne finie, ouvrir la figure, par Noémie Cursoux.
« Ainsi, bien que le spectateur ait suffisamment d’indices pour qu’un espace figuratif se construise sur sa rétine, les peintures de Jérémy Liron ne sont pas des images figées, arrêtées, closes et déterminées, comme peut l’être en revanche la source photographique. »
2023 : Jérémy Liron, inspiration Var, par Jessica Chaine.
« Il s’agit presque exclusivement de paysages, inspirés par des souvenirs ou des photographies prises par le peintre lui-même, dans lesquelles l’architecture a toute sa place. »
2023 : Le toucher du monde, par Patrick Royannais.
« Une œuvre d’art nous « touche », et, normalement, on ne la touche pas. Noli me tangere, dit Jésus à Madeleine. L’épiphanie du monde comme celle du corps du Ressuscité ne sont pas à retenir. »
2023 : La beauté du monde, par Armelle Fémelat.
« Qu’est-ce qui nous touche dans une œuvre d’art ? Telle est la question posée par l’exposition du musée Paul Dini présentée en collaboration avec le FRAC Auvergne. »
2023 : « Et c’est assez, pour l’instant, qu’une si jolie ombre danse au bord de la fenêtre », par Eric Suchère.
« Ainsi, la peinture de Jérémy Liron est la destruction-recréation du paysage par la peinture. »
2023 : Le toucher du monde, par Jean-Charles Vergne.
« Commençons par un postulat simple. Il faut construire une cabane. »
2023 : Face à l’intouchable, par Arnaud Maïsetti.
« la peinture quand elle écrit, par la lumière liquide répandue, dans ses propres larmes qui donnent forme du monde qui s’efface quand on le donne à voir »
2023 : Pendant que la nuit tombe.
« Concevoir une exposition, c’est incliner à ces sortes de nouages. Cultiver en soi ces sortes de conversations, leur répondre ou en répondre. Cela n’a rien d’un discours ou d’une leçon. Il y est plutôt affaire de désirs et d’inquiétude. Ou, comme l’écrit John Berger, à propos du désir justement, d’un échange de cachettes. «
2023 : Voir en peinture, par Noémie Cursoux.
« Jérémy Liron peint des paysages qu’il perçoit souvent au fil de ses errances. »
2023 : Retourner le regard
« Peintre, écrivain, lecteur, Jérémy Liron ne cesse de quitter une branche pour une autre dans la forêt du sens, sans que cela relève pour autant de la dispersion »
2023 : Les archives du désastre.
« Le mot sidération, originellement, dit une influence soudaine des astres sur le comportement d’une personne, sur sa vie, sa santé : c’est bien une telle influence secrète que cherchent à approcher et à traduire les Archives du désastre. »
2022 : Meymac s’offre un calendrier de l’Avent monumental et participatif, par Chrystel Chabert.
« L’artiste nous plonge dans des paysages du Sud, peuplés de pins et de villas aux lignes « Le Corbusier ». On retrouve ce même sentiment de vide étrange et de mélancolie dégagés par les dessins éclairés du calendrier. »
2023 : Jérémy Liron, par Jean-Marc Salomon.
« De subtiles jeux de lumière se jouent grâce à la qualité variée de la gestuelle du peintre qu’est Jérémy Liron : dans le choix de ses couleurs et la manière de les poser, en choisissant de recouvrir la toile ou de la laisser nue à certains endroits. «
2023 : Pendant la nuit tombe, par Charlotte Debraine-Molina.
« La peinture de Jérémy Liron déconstruit la réalité qu’elle prétend représenter : chaque tableau devient alors un objet de contemplation et un support au rêve pour laisser le spectateur divaguer dans ses pensées. »