2023 : L’empreinte du paysage méditerranéen, par Emmanuel Ruben.
« On pense à Hopper, bien sûr, dont il connait la science des contrastes et l’art de saisir l’étrangeté de l’instant. On pense à Kirbeby pour l’alchimie des couleurs et l’implacable géométrie. »
2023 : A sa fenêtre, par Jean-Paul Gavard-Perret.
« Attracteur et agrandisseur de jeux de couleurs et d’ombres, Jérémy Liron prouve qu’en lui-même le paysage n’existe pas. »
2023 : « La méditerranée est au cœur de mes œuvres », par Caroline Gonzales.
« Si la géométrie est une ligne conductrice dans son travail, les paysages de la Méditerranée le sont tout autant. «
2023 : Par les temps qui courent, par Mathilde Wagman.
« Si l’on essayait de décrire l’émotion qu’ils suscitent, on pourrait dire qu’il y a d’abord comme une sensation très forte de l’été. L’odeur du maquis, l’aveuglante lumière d’un soleil qui percute un mur blanc, les arbres et les cactus aux verts chatoyants, dont les masses contrastent avec l’architecture moderne de belvédères aux lignes droites. »
2023 : Jérémy Liron, la puissance de l’art par Solange Alziari de Malaussene.
« Cet artiste-peintre, agrégé d’arts plastiques, nous ouvre un univers où se conjuguent bâti et végétal, des images géométriques aux lignes intemporelles. »
2023 : Jérémy Liron – Un sentiment d’étrangeté par V.N.
« La peinture de Jérémy Liron ne décrit pas le monde mais en approche les rouages intimes. »
2023 : Jérémy Liron : paysage, mémoire et mélancolie. Un art de peindre en présence, par Laurence Gossart.
« Des étendues de peintures, des surfaces peintes qui font mur, des bleus, des pins qui traversent l’espace plan, circulant dans les ciels d’azur qui contredisent les aplats de couleur et enfouissent les architectures. »
2023 : Rivé au vague, par Thibault Bissirier.
« Le cadre est là pour circonscrire, la vitre pour éloigner encore. De loin, on n’y voit rien, sinon quelques percées obscures, des images comme des seuils, dont on s’approche, des trous de serrures par où l’on scrute pour voir ce qui se cache derrière. »
2023 : Jérémy Liron, La géométrie dans tous ses états, par Gilles Altieri.
« En présence d’un paysage urbain de Jérémy Liron, le spectateur éprouve une sensation dérangeante, faite à la fois de familiarité, comme s’il reconnaissait le lieu, et en même temps de défiance, avec le vague sentiment que « quelque chose ne colle pas ». »
2023 : Abolir la ligne finie, ouvrir la figure, par Noémie Cursoux.
« Ainsi, bien que le spectateur ait suffisamment d’indices pour qu’un espace figuratif se construise sur sa rétine, les peintures de Jérémy Liron ne sont pas des images figées, arrêtées, closes et déterminées, comme peut l’être en revanche la source photographique. »
2023 : Jérémy Liron, inspiration Var, par Jessica Chaine.
« Il s’agit presque exclusivement de paysages, inspirés par des souvenirs ou des photographies prises par le peintre lui-même, dans lesquelles l’architecture a toute sa place. »
2023 : Le toucher du monde, par Patrick Royannais.
« Une œuvre d’art nous « touche », et, normalement, on ne la touche pas. Noli me tangere, dit Jésus à Madeleine. L’épiphanie du monde comme celle du corps du Ressuscité ne sont pas à retenir. »
2023 : La beauté du monde, par Armelle Fémelat.
« Qu’est-ce qui nous touche dans une œuvre d’art ? Telle est la question posée par l’exposition du musée Paul Dini présentée en collaboration avec le FRAC Auvergne. »
2023 : « Et c’est assez, pour l’instant, qu’une si jolie ombre danse au bord de la fenêtre », par Eric Suchère.
« Ainsi, la peinture de Jérémy Liron est la destruction-recréation du paysage par la peinture. »
2023 : Le toucher du monde, par Jean-Charles Vergne.
« Commençons par un postulat simple. Il faut construire une cabane. »