2022 : De l’inquiétante étrangeté du paysage, par Catherine David.
« De l’architecture moderne d’une villa entraperçue sous la végétation provençale de Jérémy Liron à la piscine désertée, éclairée de l’intérieur dans une nuit d’un calme saturnien d’Adrien Belegrand, il faut suivre les chemins, parfois inquiétants, de ces visions singulières. »
2022 : Paysage, par Noémie Cursoux.
« Ayant recours à la photographie comme point de départ pour peindre, Jérémy Liron construit des paysages traversés par quelques touches expressionnistes. »
2022 : Pièces d’échos, par J-P Gavard-Perret.
« A côté des grands formats de paysages dans l’atelier de l’artiste et au sein de ses oeuvres en cours, Liron laisse traîner sur son bureau esquisses, recherches, dessins, gouaches sur papier. »
2022 : Marginalia, par Guillaume Benoît.
« Liron donne vie aux organes de ces sujets et les baigne d’une chaleur impossible, poussant encore sa logique du paradoxe dans ces éléments taciturnes et vibrionnants »
2022 : Dessin d’après, par Anne Favier.
« les œuvres dessinées appellent à revoir leurs origines iconographiques médiatiques. Elles donnent ainsi à voir, autant qu’à ressentir, les opérations de transmutation et de translation par manipulations graphiques. »
2021 : Jeremy Liron, par Sylvie Carlier.
« Formé aux écoles d’art de Toulon et Paris, Jeremy Liron choisit la peinture pour questionner notre perception de l’espace à travers les paysages et l’architecture. »
2021 : 10/07-17/10
Un goût de vacances
vue de l'exposition Un goût de vacances, CAC Meymac, 2021.2021 : UN GOÛT DE VACANCES, DES SAVEURS D’ÉTÉ, PAR CAROLINE BISSIÈRE ET JEAN-PAUL BLANCHET. Caroline Bissière et Jean-Paul Blanchet, plaquette de l’exposition Un goût de vacances, des saveurs d’été, abbaye Saint André Centre d’art contemporain, Meymac. Trois artistes se partagent cet espace : Yann Lacroix, Alexandre Lenoir et Jérémy Liron dont le point commun est l’absence ou la quasi-absence visuelle de personnage dans leurs œuvres....
2021 : 22/05-23/05
Tangerine Tangerine
Vue de l'exposition Tangerine Tangerine, Les Moments Artistiques, Paris, 2021.Dans mon idée, l’exposition s’intitulerait « tangerine, tangerine ». Et si ce titre, comme point de départ insiste, c’est d’abord parce que je ne sais pas vraiment ce qui le justifie. Ou s’il fait vraiment programme comme on l’entend. Il y a quelque chose qui a à voir avec la sonorité vraisemblablement. Avec son exotique. L’évocation du soleil, d’un verger ou un jardin ; une certaine quiétude méditerranéenne. Il y a...
2021 : 12/06-24/06
Les parages
Vue de l'exposition Les parages, galerie Isabelle Gounod, Paris, 2021. Photo : Rebecca Fanuele.« Dans le silence de ses paysages d’une quiétude éthérée, Jérémy Liron manipule les contrastes dans sa peinture pour faire glisser les champs de réalité dans son exposition « Les Parages » à la galerie Isabelle Gounod. » G.B. « Me demanderait-on sur quoi je travaille, comme il arrive parfois, qu’aurais-je à répondre d’autre que de convenu ? Je peins un paysage (si on peut désigner ainsi une grande...
2021 : 26/06-2/01
Paysages, entre représentation et imaginaire
Vue de l'exposition Paysages, MAC de Montélimar, 2021.Entre rêver et réalité, par Camille Bertrand-Hardy in Paysages, Entre représentation et imaginaire. Les paysages naturels de Jérémy Liron sont atypiques dans son œuvre plus largement consacré à des vues urbaines, ils s’y inscrivent pourtant sans solution de continuité. Grand pin ou île dans une mer lisse, ils déclinent l’abstraction de monochromes verts ou bleus. Leur sujet est moins ce qui est représenté que la réalité de l’agencement...
2021 : 07/08-16/10
In the shade
Vue de l'exposition In the shade, galerie Eric Linard, 2021. Photo : Philippe Petiot.« On ne sait jamais des images qui semblent se dresser dans la vue, des moments qui nous retiennent, s’ils nous sont suggérés par une configuration du réel ou par ce que l’on y projette. A vrai dire, un tableau sous cet aspect est le mariage d’une prise de note ou d’une saisie du regard et d’une rêverie ou d’un fantasme. S’y rencontrent des ressemblances, des souvenirs autant que des partis-pris, des...
2021 : Jérémy Liron, sans fioritures, par Elisabeth Védrenne.
« Ni trop léchée, ni encombrée de signes, sa peinture respire la solidité, une certaine plénitude, et l’évidence paisible qui naît du sentiment de se sentir bien présent sur cette terre. »
2021 : La galerie Eric Linard accueille les œuvres de Jérémy Liron, par Franck Prévôt.
« Depuis de nombreuses années, il s’intéresse au paysage et à l’architecture. Et ses derniers travaux trahissent une attention particulière aux paysages de Provence, la côte varoise en particulier. »
2021 : Un goût de vacances, des saveurs d’été, par Caroline Bissière et Jean-Paul Blanchet.
« une vue très frontale d’un bâtiment dont on ignore la fonction, comme souvent dans ses paysages, mais dont le mur habillé de bois renvoie la lumière chaude d’une fin d’après-midi d’été »
2021 : Au-delà du regard, par Elisa Farran.
« Il peint des paysages anonymes et vides faits d’éléments d’architecture et de végétation et échappe à la monotonie en expérimentant par la matière peinture la présence du regard. »