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Catalogues et Monographies
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Catalogues et Monographies
Vue(s), vigie, voisinages
60 pages, textes de Stéphanie Rojas-Perrin et Jérôme Thélot, éditions Fondation Renaud, 2025.
Détail
Vue(s), vigie, voisinages
Rien de plus réfléchi, du coup, que cette suite, rien de plus saisi dans l'espace mental d'un double regard réciproque et retourné. Et rien donc d eplus élaboré que cet art héritier des constructions idéalistes de la Renaissance, des perspectivismes remis sur les chantiers des géomètres depuis Brunelleschi jusqu'à Balthus. 
Les substances sensibles éclatent, oui, sur les murs bruts, les sursauts de la matière brusquent l'espace et les ciels impénétrablement bleus aiguisent les sensations, - mais la Forme, quant à elle, résiste aus sommations de ces Forces, elle est fomentée par un esprit vigile qui tient et maintient sous sa maîtrise les versantsconjoints de sa double vocation.

Jérôme Thélot

Le catalogue accompagne l'exposition de sortie de résidence à la Fondation Renaud Fort de Vaise.
Valse

34 pages, préface de Jérémy Liron, éditions Centre d’art la Halle des bouchers, Vienne, 2024.

Détail
Valse
Vous êtes donc pris, ici, dans un parcours scénographique qu’il a conçu entre les piliers de la halle et les cimaises, découvrant de nouvelles perspectives, un déjà-vu paradoxalement inconnu, dans une sorte de dérive un peu rêveuse, ce plaisir que nous avons depuis l’enfance à parcourir les labyrinthes.
Bien sûr vous reconnaissez des lieux familiers de notre ville, les escaliers de St André le bas, le mur tacheté de l’ombre des platanes sur le mur de la chapelle St Théodore, le théâtre antique ou une vue inhabituelle, au travers des piliers du temple d’Auguste et de Livie, sur l’ancienne prison, un angle d’immeuble si près d’ici entre les rues des Clercs et du 4 septembre, la tête d’une statue vue au Musée des Beaux-arts et sur une gravure ancienne le quai de Sainte Colombe élargi de ce mystérieux «  angle courbe »  sur lequel fut posé plus tard un des piliers de la passerelle.
Mais vous penserez à la valse viennoise et devant le cabinet de Freud à Vienne vous vous demanderez de quelle Vienne il s’agit, comme si, d’un même songe vous étiez passés de notre ville à son homonyme autrichienne, d’un même pas de valse et l’esprit embrumé vous étiez entrés dans l’expérience d’un trouble, dans d’étranges associations ou dans les rhizomes foisonnants de votre mémoire.
En effet, c’est bien là que vous êtes, dans ce que les orateurs de l’antiquité appelaient un palais de la mémoire, cette série d’objets signifiants qu’ils disposaient devant eux pour mémoriser les étapes d’un discours.  Un palais de la mémoire de la ville aussi, avec ses ponts détruits, ses cartes postales anciennes, mémoire de ce lieu même où nous sommes, là où fut vendue la viande des bouchers que l’artiste a rappelé malicieusement avec cette peinture d’une carcasse de viande inspirée de Rembrandt.

Bernard Collet

Le catalogue accompagne l'exposition Valse au centre d'art La Halle des Bouchers à Vienne. Exposition réalisée en collaboration et dialogue avec Anne Favier.
Les archives du désastre


192 pages, Préface de Lionel Bourg, entretien avec Anne Favier, éditions l’Atelier contemporain, 2024

Détail
Les archives du désastre
Le désastre a eu lieu.
Ne subsistent du monde que des images, le réel jadis éprouvé, bâti, jour après jour étayé, n’ayant peut-être jamais été lui-même qu’un château de cartes, de vaines concrétions ou des ruines.
Demeurent des espèces d’épreuves.
Des clichés indécis, neutres, comme en souffrance toutefois sous l’opacité d’une durée sans mémoire autre que gluante, voilée de sécrétions maladives, laquelle semble accueillir en son intimité les témoignages d’un univers que l’on savait menacé.
Images…
(Lionel Bourg)


La peinture figurative et évanescente de Jérémy Liron se déploie en grande partie par séries, aux noms empreints d’une sourde mélancolie, comme ses Tentatives d’épuisement, ses Images inquiètes, ou ses Absences. Les Archives du désastre, qui comptent aujourd’hui près de 400 pièces de modeste format et auxquelles sont consacrées ce volume, sont l’une d’entre elles. Elles recueillent un ensemble de figures spectrales, dessinées à la craie noire, puis voilées d’une couche de peinture vert de Hoocker. Elles sont les reliques d’un désastre, d’un changement d’astre, qui eut lieu avec la vague d’attentats terroristes durant la dernière décennie. Préface de Lionel Bourg ; entretien avec Anne Favier.
Face mer


Préface de François Bon, bilingue, éditions Lord Byron, 2024

Détail
Face mer
Et puis finalement oui, le rideau s'ouvre. Il s'ouvre sur quoi? Justement sur cet absolu du peintre. Si résistif à soi-même. Toi tu te dis, pour toi, qu'avec l'âge vient ce droit, y compris pour mieux atteindre au monde, de s'ancrer dans les quatre murs, les livres et la table. Tu n'avais pas compris que pour Liron c'atait l'étape de maintenant.
François Bon

Catalogue publié à l'occasion des exposition Le dernier rivage à la Galerie Isabelle Gounod et Mu à la Galerie Eric Linard. 
Une phrase
La mer intérieure

36 pages, texte d’Emmanuel Ruben, édition Orangerie du Château de Sucy-en-Brie, 2024.

Détail
Une phrase
Il y a quelque chose d’archipélagique dans l'œuvre de Jérémy Liron. Ses tableaux, je les lis comme des îles potentielles, avec leurs contours appuyés, leurs reflets bleutés, leurs ombres portées qui font parfois penser à Chirico. Ce sont des îles mémorielles qui portent la nostalgie d'une mer intérieure. Éclats de lumière à hauteur d'enfance, ces images fixent un instant qui s'est enfui, mais qui continue à irradier au plus profond des rêves. Tout en étant réalistes, voir hyperréalistes, les tableaux de Liron ne veulent rien dire, ils ne décrivent pas, ne définissent pas un paysage, ils désignent un fragment habitable dans l’archipel de la mémoire.
Ce sont des haïkus : ils ne cherchent jamais à capturer la totalité d'un paysage, d'une plante, d’un arbre, d'une statue ou d'une architecture – ils ne se contentent pas de concentrer et de réfracter une émotion, ils mettent en scène la suspension panique du langage et font entendre une note de musique, brève, scintillante, mais qui résonnera longtemps en nous. C’est pourquoi ils ne sont jamais surchargés. Regardez ces grands à-plats de couleur : ciel bleu pâle, flaque de soleil, grand pan de mur jaune. Écoutez ce silence qui perle dans les interstices de cette peinture griffée d’ombres et de flashs de lumière.

Emmanuel Ruben

Le catalogue a été publié à l'occasion de l'exposition Une Phrase à l'Orangerie de Sucy en Brie. Exposition constituée d'une logue frise de 45 tableaux disposés en ligne sur un peu plus de 20 mètres.
Pendant que la nuit tombe
26 pages, textes de Jean-Marc Salomon et Jérémy Liron, éditions L'Abbaye, espace d'art contemporain, 2023.
Détail
Pendant que la nuit tombe
Dans les paysages de Jérémy Liron le temps y est comme suspendu. L'effacement de tout indice contextuel et l'absence totale de figure humaine dans son travail évite et empêche toute narration. La peinture figurative de Jérémy Liron a pour but de déconstruire la réalité telle qu'elle prétend représenter. Chaque tableau devient alors un objet de contemplation et un support de rêve pour laisser le specteteur divaguer dans ses pensées. 
Jean-Marc Salomon

Catalogue publié à l'occasion de l'exposition Pendant que la nuit tombe réalisée à L'Abbaye. 
La géométrie dans tous ses états
16 pages, texte de Gilles Altieri. Editions Maiosn du Cygne, ville de Six Fours les Plages, 2023.
Détail
La géométrie dans tous ses états
Evitons néanmoins la double tentation de ramener le travail de Jérémy Liron à une position en quelque sorte documentaire sur notre époque, une sorte de "Jérémy Liron témoin de son temps", et d'autre part, d'appréhender son travail comme un bloc monolithique qui s'offrirait au spectateur "ne varietur". Sur le premier point, puisque nous avons évoqué plus haut le caractère semi-fictionnel de son travail, on ne pourrait au mieux que lui attribuer un rôle semi-documentaire. Mais la liberté qu'il prend avec la réalité, est chez lui le moyen d'accéder à une vérité picturale, à l'exemple du Parthénon d'Athènes qui, contre l'évidence, ne comporte aucune ligne droite. Ce mentir-vrai qui est au coeur de toute création artistique, est chez Jérémy Liron, le fondement de son oeuvre.
Gilles Altieri

Le catalogue accompagne l'exposition La géométrie dans tous ses états à la Maison du Cygne.
Par la fenêtre
52 pages, texte d'Eric Suchère, édition Galerie Isabelle Gounod, 2023.
Détail
Par la fenêtre
Ainsi, la peinture de Jérémy Liron est la destruction-recréation du paysage par la peinture. Par paysage, j’entends le paysage réel qui a déjà été mis à distance par la photographie qui en a été prise, mais qui évoque, biographiquement pour l’artiste, le paysage — les paysages — qu’il a pu voir, le paysage-souvenir qui est, également, un paysage-affect. Ce paysage-affect, jamais Jérémy Liron ne pourra le transmettre — car il n’appartient qu’à lui —, mais il est le moteur, l’élément déclencheur, celui qu’il tente, à l’instar du narrateur d’À la recherche du temps perdu, « de faire entrer dans sa lumière ». La peinture réalise cette recréation, combinant, à la fois, le paysage et l’affect qu’il déclenche, dans un être autre qui n’existe que dans la peinture. Il ne s’agit pas de mémoire involontaire mais d’une entreprise conceptuelle qui vise à affecter le réel par son affect, l’image par la peinture.
Le tableau est un arrêt sur image par la peinture ou un arrêt de l’image par la peinture où celle-ci provoque l’arrêt, une stupeur possible par ce qui est en son cadre : ces fragments subtilisés et transformés d’un réel improbable mais qui nous paraît, cependant, familier. À l’instar des cadrages de Michelangelo Antonioni dans sa trilogie (L’Avventura, La Notte, L’Éclipse) où la narration se délite dans ce que Jérémy Liron nomme des « stances », les tableaux de Jérémy Liron font apparaître ces fragments hors de l’habitude que nous avons de leur apparence, dans leur caractère singulier, dans l’idiotie — du grec ἴδιος — qui, selon Clément Rosset, n’a « ni reflet ni double », n’existe qu’en lui-même.

Eric Suchère

Le catalogue a été édité à l'occasion de l'exposition Et c'est assez pour l'instant, qu'une si jolie ombre dans au bord de la fanêtre à la Galerie Isabelle Gounod.
Les archives du désastre
52 pages, texte de Laurence Gossart. Editions Galerie Isabelle Gounod, 2022.
Détail
Les archives du désastre
Ces petits formats à l’absorption si efficace poursuivaient en moi leur entreprise dans les tas et cartons qui se trouvaient au sol. C’est en regardant ceux qui justement n’étaient pas exposés au mur que je prenais progressivement la mesure de l’intensité de ce travail. Un grand corps dans lequel chaque pièce trouve – si je puis dire - troue sa place, tout en conservant son autonomie. Isabelle Gounod me montrait les pièces une à une, me traçant ainsi l’histoire de ce nouvel Atlas qui bien entendu évoque pour nous son grand frère, l’Atlas Mnémosyne d’Aby Warburg. En effet, c’est essentiellement la raison pour laquelle cet ensemble touche tant. Il contient cette mémoire commune, mémoire qui nous regarde, que Jérémy Liron ranime ici.
Les archives, donc, du désastre... Mais quel désastre ? Quelles archives ? Entre images et vestiges ? Entre imago et vestgium ? Quelque chose d’indéfini ? Plutôt une énergie qui prend forme et est à la fois, ainsi que l’énonce Georges Didi-Huberman, ce que nous voyons et ce qui nous regarde. Vu et voyant, mu et mutant, une expansion organique revenue du plus profond des eaux troubles, de l’inconscient, de la mémoire. Reprenons. L’ensemble de dessins Les Archives du désastre est débuté après que nombre d’événements très violents marquèrent nos quotidiens : les exactions de Bokoharam, les attentats en France ainsi que ceux du musée du Brado de Tunis mais aussi la destruction de la cité antique de Palmyre. Enfin, c’est tout particulièrement après l’attentat du journal Charlie hebdo que Jérémy Liron engagea ce travail. « Comment en sommes-nous arrivés là ? » s’interrogeait-il.

Laurence Gossart

Catalogue publié à l'occasion de l'exposition Marginalia (travaux sur papier) à la Galerie Isabelle Gounod.
Ce que nous gardons en mémoire après avoir cessé de regarder
20 pages, Editions Abbaye St Florent le Vieil, Mauges sur Loire, 2020.
Détail
Ce que nous gardons en mémoire après avoir cessé de regarder

"Qu'est-ce qu'un paysage? Ce que nous gardons en mémoire après avoir cessé de regarder." 
Cette définition donnée par Gilles Clément articule le regard et la mémoire et a le double intérêt d'introduire l'exposition en la plaçant sous le signe du paysage, qui est le titre générique d'une série de peintures et de l'extraire d'une appréhensio,n technique réductrice en l'assimilant à une perception dans aquelle le travail du regard n'est pas simplement celui de la vue, le paysage e, Occident se définissant historiquement comme une découpe tracée par une fenêtre, la vedute, mais une activité composite à laquelle prennent part l'imagination et la mémoire.

JL

 

Les heures
74 pages, texte de Gilles Tiberghien. Coéditions La Nerthe/Musée de Sens, 2020.
Détail
Les heures
Si l'on regarde bien, on comprend vite que ce n'est ni de réalisme ni de naturalisme qu'il est question mais d'équilibre, de jeux de formes s'efforçant de s'arracher à la matière picturale pour mieux l'affirmer paradoxalement, imposer son règne souverain qui parle du tablean en se soustrayant à l'image. Certes on reconnaît des fenêtres et des rambardes, des briques au sol et des blocs de pierre, mais on n'en sait rien et l'on comprend vite qu'un autre monde s'ouvre derrière ceui-là, celui du peintre qui est aussi le nôtre mais dont nous ne soupçonnions pas la part commune restée jusque-là invisible pour nous.
Gilles Tiberghien

Le catalogue accompagne l'exposition Les heures à l'Orangerie du Musée de Sens. Exposition de dimension rétrospective qui rassemble des travaux de diverses périodes et séries.
Récits, pensées, dérives & chutes
300 pages, préface de Marc Desgrandchamps. Texte d'Armand Dupuy & divers entretiens. Editions L'Atelier contemporain, 2020.
Détail
Récits, pensées, dérives & chutes
Les images montent, se troublent et retombent derrière mes yeux, vont toucher les
pans verts ou gris déroulés sur le pare-brise, frondaisons et ciment dévorant les restes, ces
images mentales rapportées dans la vitesse du retour et ma propre immobilité contrariée –
l’état tête fixe mais déplacée, les cuisses enfoncées dans le siège, la ceinture de sécurité, les
mains tenues sur le volant. Tout s’étoile à se répondre, à s’attacher, se déchirer, à puiser des
parcelles presque oubliées, à racler les boues qu’on pensait devenues secrètes à soi-même. Je
traîne assis dans ce qui me traîne, assis dans ces forces contraires – dans cette boîte dans la
boîte, excédant les limites de l’os, les repoussant, jusqu’au vert, au gris devant moi, tous deux
déjà filant derrière, me scrutant depuis cette phrase de Liron, les restes kaléidoscopiques de
la conversation.
nous étions sur un banc, côté queue du chef d’œuvre de Lemot, place Bellecour, tout
près de l’atelier provisoire qu’il était sur le point de quitter – il faudrait sous peu remballer
les outils, les tableaux, céder la place. Nous étions la figure au soleil de mars, les nombreuses
jonquilles déjà fleuries dans le dos, l’ombre des marronniers, pas loin, ou plutôt l’ombre assez
proche des arbres en moi, qui n’était que souvenir de l’ombre datée d’une époque révolue,
il y a presque dix ans, ici même, à Lyon, puisque les marronniers n’étaient plus, alors que
nous étions là, nous, rougissant dans l’amorce printanière, poussant nos incertitudes et toute
notre inconstance du bout des lèvres. Place refaite et souvenirs de place traversés si souvent,
superposés, plaqués l’un sur l’autre et coulissant sans rivalité. On avait abattu puis débité ces
marronniers, malades – j’avais dû lire ça dans les journaux –, mais l’ombre se jetait encore
et désaltérait nos phrases, lançait sa fraîcheur où nous parlions, lançait puis s’engouffrait
obscurément tout autre chose. Une conversation, donc, phrases ou mots seuls, leurs trous,
leurs sursauts – l’hésitation, l’oubli. Comme si chaque tableau réclamait qu’on ne laisse pas
sans dire sa course devant nos yeux, sous peine de n’exister pas tout à fait. Parce qu’un
tableau, peut-être, à cause de tout son poids d’inachevé, d’inachevable, reste indécidable
– on ne sait jamais jusqu’où mener lignes et couleurs, jusqu’où pousser l’ajustement des
formes aux formes et jusqu’où contrarier l’ensemble. Que Liron soit allé retoucher parfois
l’une de ses toiles sur le lieu d’exposition, comme ont pu le faire Bonnard, Picasso et d’autres,
témoigne de cet état d’inachèvement permanent des tableaux tant qu’ils restent à portée de
main. Le geste par lequel la main va toucher la toile sans jamais toucher l’énigmatique objet
qu’elle vise, ne trouve aucun aboutissement satisfaisant, aucun repos durable. La substance
déposée reflète de façon si lancinante l’échec qu’il faut que les tableaux disparaissent enfin,
qu’ils soient portés au loin. Ils trouvent une fin naturelle dans la séparation, lorsqu’il nous
sont arrachés, qu’ils sont au mur, derrière la porte close d’un collectionneur, et qu’on finit
par les oublier, qu’on recommence ailleurs.

Armand Dupuy
Caro
74 pages, texte de Philippe Agostini. Editions Nuit Myrtide, 2019.
Détail
Caro
Des photographies des œuvres de Caro, redécouvertes au détour des pages d’un catalogue, Jeremy Liron fait des peintures - tout comme il le fait d’ailleurs à partir de ses propres clichés de l’espace citadin qu’il habite ou qu’il a habité. De l’image initiale il retient les formes emboîtées, les articulations des pans et leurs jeux d’ombres, les couleurs parfois qui restituent la matière des sculptures, rouille ou laque. Mais cette image n’est pas toujours restituée dans son intégralité, souvent recadrée par le format vertical dans lesquels il choisit de reprendre les motifs. Cette régularité du format de restitution recouvre plusieurs fonctions qui, s’elles n’étaient probablement pas décidées par avance se sont très certainement imposées  comme une nécessité dans la succession de ses peintures ; d’une part ce format standard assume d’emblée le principe du fragment, de l’extrait ou l’extraction, lié directement à celui de l’emprunt qu’il réalise ici, nous rappelant sans cesse que c’est moins la citation de l’œuvre elle-même qui l’intéresse que les phénomènes graphiques (lignes, plans, masses…) sur lesquels se porte son regard. D’autre part dans la verticalité assumée de chacun ces morceaux de peinture - format que l’on nomme aussi Figure - se loge évidemment l’affirmation d’un jeu séquentiel constituant dans sa multiplication l’équivalent d’un échantillonnage, d’un catalogue, d’un ensemble raisonné de « cas de figures » justement.
Philippe Agostini
Une île
Château Saint Marcel de Félines
48 pages, préface d'Isabelle Bernini, éditions Chateau Saint Marcel de Félines, 2019.
Détail
Une île
Ces peintures semblent métaphoriser la mémoire, donnant l'impression d'un déjà-vu, un peu à la manière des films de Jean-Luc Godard. Elles reflètent une approche intuitive de la création d'images, où le monde qui nous est donné à voir est filtré à travers le paysage mental de l'artiste.
Isabelle Bernini

Ce serait ça alors le sentiment récurrent de regarder à chaque chose comme depuis un bateau qui quitte le port. De voir en chaque chose une île qui s'éloigne.
Jérémy Liron

Le catalogue témoigne d'une résidence passée durent l'été au chateau St Marcel de Félines pensé alors comme une île. 
Mélancolie des paysages
46 pages, texte de Philippe Agostini. Editions Art Lux, 2017.
Détail
Mélancolie des paysages
Ce qui retient visiblement l'attention de Jérémy Liron et semble motiver ses choix, relève d'abord d'un vocabulaire de formes standardisées, d'agencements plastiques stéréotypés liés aux matériaux de construction, aux volumes simples, aux rythmes de creux et bosses qui animent l'espace urbain... C'est à partir de cette toponymie architectonique assez ordinaire et récurente qu el'artiste s'interroge et peint (ou peint en s'interrogeant). 
Philippe Agostini

Le catalogue accompagne l'exposition Mélancolie des paysages à la galerie Andersen&Associés.
Récits des paysages
120 pages, textes de Pierre Bergounioux, Léa Bismuth, François Bon, Anne Collongues, Marie Cosnay, Emmanuel Delabranche, Armand Dupuy, Sabine Huynh, Arnaud Maïsetti, Eric Pessan, Béatrice Rilos, Dominique Sampiero, Joachim Séné, Guillaume Siaudeau, Fabienne Swiatly, Dimitri Vazemsky, Thomas Vinau. Edition Nuit Myrtide, 2014.
Détail
Récits des paysages
Le foncier bâti de Jérémy Liron est imperceptiblement infidèle à ce que nos yeux voient. La représentation s'arrête avant d'atteindre le degré d'exactitude, la perfection littérale qui capterait l'attention et feraient oublier la chose même, qui est la saveur décevante de la vie, l'absence d'espoir dont l'habitat, qui en constitue la cadre familier, témoigne avec la force de l'évidence, de l'habitude, l'omniprésence qui sont les siennes.
Pierre Bergounioux

Quelques tableaux, 17 auteurs qui s'en saisissent et en regard imaginent une courte fiction. 
Faire monde & papillons
Texte d'Armand Dupuy. Editions Centrifuges.
Détail
Faire monde & papillons
Le récit absent
32 pages, texte de Gwilherm Perthuis. Editons ArtCollector, 2012.
Détail
Le récit absent
Les "paysages" de Liron s'interrompent souvent avant la limite du châssis. La représentation ne recouvre pas totalement le support et des coulures ou des zones libres la prolongent jusqu'aux marges. Les bords de la fenêtre ne sont pas parfaitemnt nets. Et même si les structures architecturales sont souvent solidement ancrées, les volumes parfaitement dessinés dans une atmosphère transparente et d'une grande clarté, la nature globale de l'image est précaire, à peine fixée par la peinture, et susceptible de retomber dans une continuité narrative plus banale.
Gwilherm Perthuis

Le catalogue accompagne l'exposition Le récit absent au Patio Opéra organisée par Evelyne et Jacques Deret, fondateurs d'ArtCollector, mécènes et collectionneurs.
Jérémy Liron
96 pages, textes de Gilles Altieri, Philippe Blanchon et Pierre Wat. Editions Hôtel des arts, 2011.
Détail
Jérémy Liron
C'est dans la façon de peindre, comme de juste, que tout se joue. Une forme émerge, seule, se tient là, au milieu d'une nature dont la présence, si différente, ne fait qu'accentuer l'absolue solitude de ce qui se dresse. Autrefois, cette verticalité, et cette isolation, c'est à l'humain que les peintres la réservaient, pour mieux affirmer sa domination sur l'horizontalité du monde, sur ce paysage parcourable, pénétrable, connaissable, qui lui servait d'environnement. Chez Liron, qui a dû regarder les paysages historiques de Nicolas Poussin, les "fabriques", ces bâtiments imaginaires qui animaient le fond, sont venus se substituer aux héros tragiques des fables de l'auteur du Paysage avec les cendres de Phocion. Comme s'il n'était plus possible, aujourd'hui, de peindre l'histoire, mais - du fait même de cette perte - quand même possible, et plus encore nécessaire, de semer, dans le paysage du monde, des figures semblables à des énigmes.
Pierre Wat

Le catalogue accompagne l'exposition Jérémy Liron à l'Hôtel des Arts. Exposition de dimension rétrospective qui se voulait un parcours de cinq années de peinture. 
Lyon Béthune
46 pages, texte d'Armand Dupuy. Editions Nuit Myrtide, 2010.
Détail
Lyon Béthune
Or, dans les tableaux de Jérémy Liron, très souvent, des agencements massifs accaparent le premier plan (bandeau sombre, façades imposantes, pans de murs ou même bosquets de pins, de platanes ou d'autres végétaux traités comme des murs), viennent se coller très près de notre figure, là, tout contre la joue, en obturant largement le champ de vision. Et ce qui tient nos yeux, ce bloc qui biffe l'espace, est-ce cela le paysage?
Armand Dupuy
Lyon-Béthune
Semaine
Texte d'Arnaud Maïsetti
Détail
Lyon-Béthune
La majeure partie de son temps à inventer par petites parcelles les souvenirs...
28 pages, textes de Philippe Dagen et Philippe Blanchon. Editions Shakers, 2008.
Détail
La majeure partie de son temps à inventer par petites parcelles les souvenirs...
A mieux y regarder en effet, Liron ne peint pas des immeubles, des tours ou des villas : il peint des constructions dans les champs, des villas entre des arbres et des rochers, une usine dans un pré. Il peint leur intrusion. Il peint l'irruption de leurs volumes anguleux et de leurs murs droits dans ce qui était, auparavant, il y a plus ou moins longtemps, un bois ou une vallée. Des barrières et des grillages découpent l'espace et quelques indices permettent d'imaginer encore à demi ce qui était là, autrefois, avant ces découpages, avant ces séparations.
Philippe Dagen

Le catalogue accompagne l'exposition de sortie de résidence Shakers à Montluçon. 
Landscape(s)
50 pages, texte de Philippe Blanchon (bilingue Français/Anglais), 2005.
Détail
Landscape(s)
Jérémy Liron travaille déjà depuis plusieurs années à la genèse d'un univers cohérent à partir d'éléments du réel : escalier, portraits, intérieurs, multipliant les points de vue, toujours de même facture dans le même format carré et avec une maîtrise des plus certaines. Toutes ses toiles, outre leur réussite plastique, posent cette même question : Qui observe? Qui est observé? Qu'est-ce qui est observé? 
Philippe Blanchon

 
Livres d'artiste
Des agaves
Livre d'artiste

Texte d’Armand Dupuy, éditions Aencrages & Co. 2024

Détail
Des agaves
Partenaires d'inquiétudes
94 pages, texte de Blandine Devers, éditions de l'inachevé, 2023.
Détail
Partenaires d'inquiétudes
Comme un petit pan de mur jaune, ne fenêtre se saisissait de l'attention. 
Précision pourtant indécise de ses traits - au sein de plus larges coups de brosse. 
Que se cachait-il dans l'obscurité derrière les barreaux?
Leur refus d'être rectilignes, tentative d'évasion.
Avait-il réussi?
A rejoindre la mer, une côte intélienne?
Les songes fitraient par le chat de cette vision.

Blandine Devers
Grandes boîtes bleues
64 pages. Illustrations du livre d'Armand Dupuy. Editions Aencrages & Co. 2021.
Détail
Grandes boîtes bleues
tête floconneuse s'épenchait
vers lme haut s'épluchait sans fin
ressassant les contraires fécule
ralentie recuite grumeaux roulés - 
grêle en gouffrée dans le séjour
lents travaux dalle rabaissée
courants d'air et nous tous
courants d'air déplaçant des gravats - 
et de si loin passant la porte
comme autre chose qu ela porte
je revois le poirier ou plutôt
non le bois dressé dans lm'(arbre couché
chacun des tronçons roses ligneux
déjà brûlés - le récrire ce matin
comme s'il fallait des phrases pour 
noircir de nouveau l'arbre coupé
neuf ans plus tôt - lui reprocher
de ne donner que de vagues formes
à pépins dans le langage


Armand Dupuy
Geste analogue & autres écrits
Illustration de textes d'Alexandre Mare.
Détail
Geste analogue & autres écrits
Habiter
traces & trajets
Illustrations pour le texte de Sereine Berlottier
Détail
Habiter
La Mancha
Avec un texte d'Arnaud Maïsetti.
Détail
La Mancha
Publications collectives
Paymages, pratiques&images de paysages
Musée Robert Dubois-Corneau, Brunoy.
Détail
Paymages, pratiques&images de paysages
L'exposition Paymages - fusion de "pays" et d'"images" - designe des paysages appréhendés au prisme de pratiques comme la peinture, la photographie, l'installation et la vidéo. Ainsi, au musée Robert Bubois-Corneau de Brunoy, des oeuvres contemporaines dialoguent-elles avec des représentations paysagères du XIXe siècle issues de la collection. 
Cette exposition questionne, d'une part, la représentation du paysage comme création mentale, fruit d'une élaboration, d'une idéalisation, d'une fiction ou encore d'une image forgée par l'imaginaire collectif de la "peinture de paysage" et d'autre part, elle met en lumière des territoires en mutation; altérés ou rendus vulnérables. 
En mêlant stéréotypes du "beau paysage" et les traces visibles de l'intervention humaine sur la nature, l'exposition propose une réflexion critique de notre regard sur l'environnement. Elle nous invite à repenser notre lien au paysage, à ce qu'il évoque en nous et à la façon dont il façonne notre relation à la nature, en particulier dans un contexte de crise climatique. Dès lors, elle ouvre des perspectives pour appréhender et comprendre le monde qui nous entoure. 
Ecrans - Du cadre à la bordure.
Arts plastiques, cinéma, musique
Détail
Ecrans - Du cadre à la bordure.
Entretien avec Anne Favier
Revue Écrans
2025 – 1, n° 23
Du cadre à la bordure. Arts plastiques, cinéma, musique
Sous la direction de Joubert (Muriel), Labé (Benjamin), Montégu (Frédéric), Waschbüsch (Viviane)
314 pages
24/09/2025
L'art dans les chapelles
34e éditions
80 pages, Textes d'Eric Suchère, éditions L'art dans les chapelles, 2025.
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L'art dans les chapelles
Avec Diane Benoir du Rey, Marie Bette, Michel Gouéry, Gabrielle Herveet, Lucy Kerr, Guillaume Linard-Osorio, Jérémy Liron, Gyan Panchal, Laurence Papouin, Nicolas Pilard, Laure Tiberghien, Branka Zilovic.
Peinture & numérique, pratiques et enjeux contemporain
éditions ESAD Saint-Etienne
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Peinture & numérique, pratiques et enjeux contemporain
Comment le tsunami d'images qui déferle de façon ininterrompue sur les écrans de nos smartphones, téléviseurs, ordinateurs et autres appendices connectés impacte-t-il le travail des peintres ? L'art a certes toujours été en dialogue avec les techniques de son temps, mais la peinture n'est-elle pas, aujourd'hui, en passe d'être définitivement déclassée et marginalisée par les performances et l'envahissement des images numériques ? L'attachement à la matérialité de la peinture ne relève-t-il pas désormais d'un fétichisme anachronique ? Un écran est-il un tableau comme les autres, et vice versa ?

« On estime qu'un individu vivant aujourd'hui en Occident voit entre quatre mille et dix mille images par jour, principalement par le biais des technologies numériques. En comparaison, une personne vivant au Moyen Âge – a fortiori si elle n'appartenait pas aux classes aisées et éduquées – n'était confrontée qu'à quelques centaines d'images, voire quelques milliers, sur la totalité de sa vie, par le truchement des œuvres religieuses, des pièces de monnaies et de quelques enluminures dans de rares livres recopiés à la main. Ayant perdu son statut quasi monopolistique des images, que devient la peinture face à un tel déferlement ? Qu'en est-il de sa fixité et de son rapport au temps lorsqu'il n'est question que de flux numériques ? Quelle est même la nécessité de sa pérennité ? L'image numérique n'a-t-elle pas pour elle la rapidité, la malléabilité, la circulation, la quasi-gratuité, la commodité, la séduction, etc. ?
Force est pourtant de constater que, non seulement la peinture ne disparaît pas, mais qu'elle revient même au premier plan des pratiques artistiques, notamment chez une jeune génération de peintres figuratifs. Pour éprouver et mesurer l'état des lieux, le LEM (Laboratoire d'expérimentation des modernités) a organisé deux expositions, la première à la galerie Ceysson & Bénétière de Saint-Étienne, du 16 mars au 2 avril 2022, la seconde à la salle des Cimaises, du 16 mars au 24 mars 2022. Les artistes présents intègrent l'usage de la photographie numérique dans leur processus de création, selon diverses modalités, par exemple en composant à partir de photographies prises par eux-mêmes, pour Clémentine Post, Nadjib Ben Ali, Thomas Lévy-Lasne et Jérémy Liron, comme pour ancrer l'image dans une relation vécue, testimoniale, voire autobiographique.
D'autres, telles Marine Wallon et Mireille Blanc, puisent leurs images à toutes les sources, d'Internet aux marchés aux puces, en passant par des vidéos documentaires et des albums de famille, pour élaborer des tableaux où s'hybrident l'intime et l'histoire de l'art. Si Denis Laget a un usage circonspect et marginal – mais bien réel – du numérique, Rémy Hysbergue s'en inspire fortement, relevant le défi de lutter, avec les moyens de la peinture abstraite, sur le terrain de la séduction, des effets et de l'illusionnisme. Quant à François Boisrond, l'outil numérique intervient aussi bien dans la préparation de ses « tableaux vivants » que dans les procédures picturales que cet artiste a développées. Il ressort de cette pluralité de stratégies une prise à bras-le-corps par les artistes des questions et des possibilités qu'ouvre le numérique pour la peinture contemporaine.
Les théoriciens, critiques d'art et historiens d'art Noémie Cursoux, Camille Debrabant, Karim Ghaddab, Romain Mathieu et Didier Semin ont participé à la journée d'études du 24 mars 2022, organisée à l'École Supérieure d'Art et Design de Saint-Étienne (Esadse) pour partager leurs analyses de cette situation. On retrouvera ici leurs contributions, selon différentes problématiques, depuis les nouveaux enjeux et procédés de la peinture de paysage jusqu'à la façon dont le numérique relance des questions entraperçues par Goethe ou Charles Nodier, en passant par la sensualité des natures mortes contemporaines ou la virtualisation programmée de notre rapport aux œuvres d'art. Plutôt que céder aux sirènes – en écho – de la technophilie ou de la technophobie, il est temps de regarder, sur pièces, comment la peinture d'après se saisit des possibilités offertes par le numérique. »
Le passage au dessin
Reprise, transfert, mise au point
Sous la direction de Anne Favier
éditions Fabelio
textes d'Anne Favier, Pascale Borrel, Daniel Boitier, Romain Mathieu, Anne Bernou, Dylan Caruso, Alexandre QUoi, Laurence Gossart, Laurent Tuot, Juliette Belleret, Marie Kaya, Martine Dancer-Mourès, Lydie Rekow-Fond, Daphné Nan Le Sergent
artistes : Dove Allouche, Christiane Baumgartner, Léa Beloussocitch, Mireille Blanc, Pierre Buraglio, Davide Cantoni, Vija CElmins, Chuck Close, Jean-Marc Cerino, Les soeurs Chevalme, Nicolas Daubanes, Maxime Duveau, Jean Olivier Hucleux, Mathieu Kleyebe, Lucas Leffler, Thomas Lévy-Lasne, Jérémy Liron, Robert Longo, Eric Manigaud, Célia Muller, Vik Muniz, Ciprian Muresan, Daphné Nan Le Sergent, Emmanuel Régent, Didier Rittener, Linda Roux, Jérémie Setton, Rirkit Tiravanija, Eric Valette, Jean-Luc Verna, Jérôme Zonder
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Le passage au dessin
Pourquoi « perdre » autant de temps à élaborer des dessins à partir
d'instantanés reproductibles ? Sur quelles images faire retour ?
Comment relever, reporter, traduire, transférer, restituer ces imagessources ? Quel est le pouvoir de transmutation du dessin?
Cet ouvrage déploie une large réflexion sur les processus actuels
de reprise de vue par le geste graphique. Le passage au dessin
opère quand les transpositions dessinées partent de représentations
issues d'autres médiums et médias : vidéogrammes, photographies,
documents scientifiques, archives historiques ou personnelles, etc.
Les dessins d'après entretiennent alors de troublantes proximités
avec leurs modèles réinterprétés. Entre extrême ressemblance et
mise à distance critique, les re-présentations dessinées donnent à
voir les détours dont elles procèdent et révèlent de nouveaux points
de vue et matérialités. L'ouvrage a pour ambition d'analyser ces
déplacements, lorsque les dessinateur.ices reprennent en main des
images préalables auxquelles il s'agit de donner la réplique, par les
moyens du dessin.
Un essai introductif offre un petit panorama de ces pratiques
artistiques contemporaines, en accordant une attention particulière
aux paroles de nombreux·ses dessinateur.ices. Les parcours des
images transférées en dessin sont ensuite analysés de manière
sensible par dix-neuf artistes, chercheur.e.s, critique.s, historien.ne.s
et conservateur.rice.s à travers des études et entretiens enrichis de
nombreuses illustrations en noir et blanc et en couleur.
Immortelle, Vitalité de la jeune peinture figurative française

Textes de Numa Hambursin et Amélie Adamo, éditions MO.CO. SilvanaEditoriale, 2023

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Immortelle, Vitalité de la jeune peinture figurative française
Voir en peinture – La jeune figuration en France


Sous la direction d’Anne Dary, textes de Marie de Brugerolles, Denis Laget, Didier Semin, édition Liénart, 2023

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Voir en peinture – La jeune figuration en France
Le promontoire du songe

Textes de Jean-Charles Vergne, Victor Hugo, Nina Léger, éditions Frac Auvergne, 2022

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Shakers, 20 ans de résidence


Textes de Frédéric Laporte, Cyrille Goyette, Jérémy Liron, François Laplanche, Michel Dubecq, Jean-François Decorse, 2022

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L'atelier contemporain 2
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L'atelier contemporain 2
Préfaces et Articles
Unknown shores
Clémentine Chalençon
catalogue édité par la Galerie Françoise Besson, Lyon, 2022.
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Unknown shores
Un peu de sueur, de sciure, des clours. Rien
Martin Jakob
Catalogue édité par Piano Nobile, Genève, 2014.
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Un peu de sueur, de sciure, des clours. Rien
Écrits
Des têtes qu'on tombe
56 pages, éditions Faï Fioc, 2025.
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Des têtes qu'on tombe
Petite armée calme de corps
rectifiés par la lame,
portant tout le poids de leur tête
comme font les mélancoliques,
le poing contre la tempe, accablés
par leur empêchement.


Livre écrit à l'occasion de la 34e édition de L'Art dans les Chapelles en Bretagne et qui traite des céphalophores, ces martyrs décapités qui, à l'exemple de Saint Denis, portent leur tête sous le bras.
Pierre Buraglio - Un fait & un songe

98 pages, ENd éditions, 2024

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Pierre Buraglio - Un fait & un songe
Puisque penser c’est relier, aller à l’aventure sur
le grand chemin buissonnier des réminiscences.
Puisque le sens ne se forme jamais que dans
l’espace de rapports, d’échos, dans cette circulation
entre les images ou dans le déploiement d’une
phrase. Puisqu’accueillir c’est, d’une certaine
manière, lire déjà, à sa façon, ou légender ses
lignes d’erre. Et puisqu’on n’en finit jamais et que
de développements en digressions les questions
initiales s’oublient pour nous laisser avec ce
mouvement libre qui tient du tissage, de la
litanie, de ces histoires comme en troussait Louis
Carrogis de Carmontelle au XVIIIe siècle avec ses
Transparents, puis Etienne-Gaspard Robertson au
siècle suivant avec ses Fantasmagories. Puisqu’on
est simultanément toujours celui qui raconte avec
des gestes et des changements de voix et un des
enfants assis en tailleur qui écoute fasciné, ne
comprenant pas tout, l’oeil brillant et la bouche
entrouverte.


Cet essai se veut un traversée libre de l'oeuvre de Pierre Buraglio, s'attardant notamment sur sa part narrative et biographique.
Le labyrinthe domestique et mental de Mathieu Cherkit


Ohnedaruth éditions, 2023

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cherkit
Regarder l’image qui regarde


Éditions du 6 rue du Gryphe, 2023

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regarder limage
Les fenêtres équivoques ou la détail du monde
Clément Davout
Editions 2Angles.
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Les fenêtres équivoques ou la détail du monde
Quelque chose de pourpre


26 pages, Édition Telmah, art contemporain, 2021.
Dialogue avec Alexandre Mare

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Quelque chose de pourpre
Je dois avouer n’être pas un fin connaisseur de Flaubert qui a subi chez moi le sort de beaucoup de classiques étudiés dans le cadre scolaire et teintés alors par contamination du gris de l’ennui. Mais il y a cette façon de concevoir l’œuvre à laquelle tu fais référence qui m’a toujours fasciné et que rapportent, je crois, les Goncourt. Lorsqu’il dit : « l’histoire, l’aventure d’un roman, ça m’est égal. J’ai la pensée, quand je fais un roman, de rendre une coloration, une nuance », j’y retrouve une approche similaire à celle que j’ai. Je répète régulièrement que la figuration ou disons la ressemblance mimétique ou photographique m’intéresse peu. Qu’elle n’est pas mon horizon. Mais que derrière cette apparence indicielle je cherche à donner corps à des sensations et impressions mêlées. Quelque chose qui traverse, qui insiste et demande justement, à travers quelque chose d’aussi banal qu’un bout de mur, qu’un arbre, à se manifester. Et quand Flaubert dit vouloir faire à travers ce roman qui deviendra Salammbo « quelque chose de pourpre », je retrouve ce désir mal défini qui préside à toute œuvre, cette direction un peu vague et pourtant déjà soumise à une très forte exigence que l’œuvre travaille à dégauchir, et à mettre à jour.
JL
Edouard


Editions Strandflat, 2019
Dialogue avec des monotypes de Peggy Viallat-Langloy

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edouard
A l'insaisissable sa part
Marine Joatton
éditions Galerie Françoise Besson
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A l'insaisissable sa part
Gênes
Images de Frédéric Khodja.
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Gênes
Autoportrait en visiteur
Préface de Pierre Bergounioux. Editions L'Atelier contemporain.
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Autoportrait en visiteur
Bruissements
Editions Derrière la salle de bain.
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Bruissements
La mer en contrebas, tape contre la digue.
Postface de Marc Besse. Coéditions La Nerthe/Eclats.
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La mer en contrebas, tape contre la digue.
L'être & le passage
Editions La Termitière.
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L'être & le passage
En l'image le monde
Maude Maris
Editions La Termitière.
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En l'image le monde
L'humble usage des objets
Editions Nuit Myrtide.
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L'humble usage des objets
Presse
Trois questions à Jérémy Liron
par Adrien Raymond - La Tribune de Lyon
"L’artiste Jérémy Liron nous présente sa résidence Vue(s), Vigie, Voisinages, conçue comme un dialogue entre architecture, regard et mémoire."
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L’artiste Jérémy Liron nous présente sa résidence Vue(s), Vigie, Voisinages, conçue comme un dialogue entre architecture, regard et mémoire. A retrouver à la Fondation Renaud – Fort de Vaise.
Que vous évoque le fort de Vaise en tant qu’artiste ?
-Le mot « fort » a d’abord été une clé pour moi, puisque je me suis immédiatement rappelé les balades que je faisais enfant sur les rivages méditerranéens du sud de la France. J’allais explorer les forts abandonnés et j’imaginais tout un tas d’histoires. Ces forts, je les voyais de loin – comme des maisons abandonnées qui me regardaient - , mais je n’avais jamais pu travailler à l’intérieur de l’un d’entre eux. J’ai donc saisi cette opportunité qui m’offre aussi la chance de glaner des vues, car le fort, c’est une machine défensive à observer tout autour de soi.
Vous nourrissez effectivement une certaine obsession pour le regard.
-Je crois que l’art en général est lié à la question du regard, et la peinture plus particulièrement encore. Dans mon travail, cela m’intéresse assez peu de représenter les choses de manière fidèle, et que l’on puisse reconnaître parfaitement. Je ne suis pas « photoréaliste ». Par contre, c’est la dynamique du regard, attraper une vue, entrapercevoir, et tout ce que l’on appelle la « pulsion scopique » qui m’intéresse. Le vis à vis, le face à face…
Les végétaux ont aussi une place de choix dans vos travaux.
-Ma compagne est paysagiste, cela fait des années que je m’intéresse aux questions d’environnement et d’aménagement du paysage. Le paysage naturel m’intéresse notamment quand il vient dialoguer avec le bâtiment. C’est intéressant d’observer ce décalage entre monument et végétaux. Cela crée des frictions sensibles et même un répertoire de gestes plastiques différents entre la géométrie et la profusion de formes du végétal.

 
Ce lieu est une vigie qui permet de découvrir le paysage
Le Progrès
"Voir et être vu. C’est cette idée que Jérémy Liron a décidé d’explorer dans son exposition Vue(s), vigie, voisinages."
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Depuis 2019, la fondation Renaud organise, chaque année, des résidences artistiques dans le fort de Vaise à Lyon. L’occasion pour la bâtisse, à l’origine militaire, de devenir un lieu de rencontres, d’expositions et de transmission de l’art. Cette année, c’est le peintre lyonnais Jérémy Liron qui a posé ses valises pleines de pinceaux et de peintures dans l’enceinte du fort.
Voir et être vu. C’est cette idée que Jérémy Liron a décidé d’explorer dans son exposition Vue(s), vigie, voisinages. Le pas de la porte tout juste passé qu’une maquette rouge brique attire notre œil. En la regardant de plus près, on se rend compte que nous sommes nous-même observés : un petit bonhomme, jumelles sur le bout du nez, semble observer les visiteurs curieux de découvrir le travail de l’artiste.
"Le personnage que l'on voit là se tient sur un fort imaginaire, détaille Lilou Desmé, assistante d eprojet culturel au sein de la fondation Renaud. Il s'agit en fait d'une fusion du fort de Vaise et du fort Saint-Jean, créée par Jérémy Liron." L'artiste lyonnais a préparé son exposition pendant plusieurs mois dans l'enceinte même du fort de Vaise et expose une trentaine de toiles. 
L'histoire de cette exposition commence à la suite d'un appel à projet lancé par la fondation. Après une soixantaine de candidatures et une sélection de trois finalistes, c'est finalement l'artiste lyonnais Jérémy Liron qui a été retenu. "Le fort est une image qui me fait rêver depuis que je suis enfant. Pour moi, il fait écho à de nombreuses choses, que ce soit l'exploration, l'aventure, la vue. Le fort de Vaise est une vigie qui permet de découvrir de nouveau le paysage", explique-t-il. Stéphanie Rojas-Perrin, responsable collections et activités culturelles, a été totalement conquise par le travail de l'artiste : "Il y a une vraie valorisatioon architecturale dans le projet. Il a réussi à rendre poétique et cohérent un ensemble d'oeuvres qui, à l'origine, n'ont pas été pensées pour être exposées ensemble."
Le visiteur est invité à déambuler dans les cinq salles composant l'exposition dans un itinéraire rythmé par des dispositifs en bois rouge, fils conducteurs essentiels à la lecture de l'espace. "L'artiste avait cette volonté de voir ses oeuvres comme accrochées à la structure d'un fort", précise Lilou Desmé. En plus d el'architecture, les tableaux d el'artiste dialoguent avec les oeuvres de Tony Garnier et de Pierre Renaud exposées à leurs côtés, tout droit sorties des réserves de la fondation. 
 
Jérémy Liron
Le Petit Bulletin
"Entre présence concrète et projection mentale, elle invite à penser ce que signifie voir, observer et habiter un espace."
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Construite comme une déambulation dynamique, cette exposition regroupe des tableaux où se retrouvent les motifs récurrents de l’œuvre de Jérémy Liron : de l'architecture, des vues frontales et de l’image dans l’image. Entre présence concrète et projection mentale, elle invite à penser ce que signifie voir, observer et habiter un espace.
Entre les pierres épaisses du Fort de Vaise, les peintures de Jérémy Liron s'installent, s'accordent et se déploient selon la mesure du lieu, comme une série de résonances et comme si l'architecture elle-même appelait des images capables d'en relayer les seuils, les rythmes, les absences. Ici, chaque arcade semble frapper le temps pour lui imprimer une pulsation lente, répétitive, presque sourde : une vibration silencieuse. Les références picturales, les archives visibles ou suggérées dans les œuvres et la présence d'autres artistes de la collection de la Fondation habite les tableaux.
 
Vue(s), vigie, voisinages
par Philippe Hugot - Baz-art
"Un artiste plasticien qui mêle regard photographique et peinture pour créer des contre-espaces, où l’ordinaire se transforme en fragments d’imaginaire."
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Un artiste plasticien qui mêle regard photographique et peinture pour créer des contre-espaces, où l’ordinaire se transforme en fragments d’imaginaire.
À l’issue de sa résidence artistique au Fort de Vaise, Jérémy Liron livre une exposition sensible et engagée qui interroge notre manière d’habiter le monde. Intitulée vue(s), vigie, voisinages, elle tisse un dialogue inédit entre peinture, architecture et mémoire du paysage.
Loin d’un simple panorama, l’artiste joue des cadres et des perspectives pour réactiver le regard : image dans l’image, fenêtre dans la fenêtre, ses œuvres mettent en lumière ce que le quotidien tend à rendre invisible. Le Fort devient ici territoire d’observation, point de bascule entre le dedans et le dehors, l’intime et le collectif.
Le parcours, rythmé par des dispositifs scénographiques en bois rouge, mène le visiteur d’un belvédère imaginaire à une succession de toiles où le Fort Saint-Jean, les paysages voisins et les œuvres de la collection de la Fondation Renaud entrent en résonance. En filigrane, l’ombre bienveillante de figures lyonnaises telles que Tony Garnier ou Pierre Combet-Descombes. 
Pour cette exposition présentée au Fort de Vaise, Jérémy Liron propose un parcours pensé comme un dialogue entre architecture, regard et mémoire.
Créée à l’issue de sa résidence artistique à la Fondation Renaud, vue(s), vigie, voisinages interroge les points de vue qu’offre le Fort de Vaise sur son environnement et notamment sur le Fort Saint-Jean, situé en vis-à-vis de l’autre côté de la Saône. Le visiteur est invité à déambuler entre œuvres et architectures, dans un itinéraire rythmé par des dispositifs en bois rouge, fils conducteurs discrets mais essentiels à la lecture de l’espace.
L’exposition s’ouvre sur une maquette rouge brique, fusion imaginaire des deux forts, reliquaire de pensée et poste d’observation, habitée par un personnage aux jumelles qui accueille les visiteurs.
Elle se poursuit par une succession de peintures qui prennent appui sur l’architecture du fort, tout en dialoguant avec les œuvres de Tony Garnier et de Pierre Renaud exposées à leurs côtés.
L’exposition se construit comme une déambulation dynamique, où se retrouvent les motifs récurrents de l’œuvre de l’artiste : architecture, vues frontales, l’image dans l’image. Entre présence concrète et projection mentale, l'exposition invite à penser ce que signifie voir, observer, habiter un espace.
Avec cette exposition, la Fondation Renaud poursuit sa mission : faire dialoguer patrimoine et création contemporaine. Elle s’inscrit aussi dans une filiation artistique profondément ancrée à Lyon, où l’architecture devient un langage du regard.
Depuis 2019, la Fondation accueille chaque année un artiste en résidence au Fort de Vaise. Véritable laboratoire de création, ce dispositif offre aux artistes un temps de recherche et un espace de production en lien direct avec les collections et l’histoire du lieu. Ces résidences permettent l’émergence de projets inédits, tout en réaffirmant l’engagement de la Fondation en faveur du soutien à la scène artistique contemporaine.

 
Jeux de regards et de points en vue au Fort de Vaise
par Clarisse Bioud - Grain de sel
"Lumineuse et graphique, cette exposition explore la notion de point de vue, dans un dialogue avec le paysage environnant et les œuvres de la fondation."
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A la Fondation Renaud logée dans le Fort de Vaise, l'artiste plasticien Jérémy Liron présente Vue(s), vigie, voisinages, du 27 juin au 27 juillet 2025. Lumineuse et graphique, cette exposition explore la notion de point de vue, dans un dialogue avec le paysage environnant et les œuvres de la fondation. Des visites contées hebdomadaires, un atelier de peinture animé par l'artiste lui-même, ainsi qu'un jeu de geocaching dans le jardin de la fondation ont été prévus pour les enfants (dès 4 ans).
Rejoindre la Fondation Renaud, logée au Fort de Vaise, se mérite – privilégiez l’accès en bus 90, au départ de Valmy, car la grimpe est ardue ! Mais une fois là-haut, la vue si belle, enchantée par les vocalises des oiseaux dans le jardin, agit comme une récompense.
Jérémy Liron nous invite à voir et à être vu à la Fondation Renaud
C’est là, parmi les cyprès, qu’émerge la première œuvre de Jérémy Liron : un « Vu » sculpté, à lire comme une indication à double sens: le visiteur se sait repéré, mais il a aussi « vu » le paysage de ce panorama grandiose.
Une idée reprise dans la maquette qui nous accueille dans la première salle de la Fondation. A première vue, il s’agit du Fort de Vaise, mais Jérémy, s’inspirant de son vis-à-vis avec le Fort Saint-Jean de la Croix-Rousse, a fusionné les deux édifices. Devant l’entrée de ce Fort réinventé, il a représenté un personnage d’observateur : « Quand on arrive et qu’on le voit, il nous voit en même temps« , s’amuse-t-il.
Dialogue en ricochet entre les œuvres et le paysage du Fort de Vaise
Et c’est bien cette question du regard et du point de vue qu’explore l’artiste plasticien, dans l’exposition Vue(s), vigie, voisinages, dans un dialogue avec des œuvres de la Fondation et le paysage environnant. Fruits d’une longue résidence in situ, ses peintures à l’huile, à la composition très structurée et baignées d’une belle lumière méditerranéenne, mettent en scène des vues intérieures et extérieures du Fort.
L’accent est mis sur des points de détails architecturaux, comme les arcades et les voûtes omniprésentes dans le bastion. Jérémy joue aussi des reflets de la végétation dans les fenêtres, qu’il représente dans des tableaux deux en un. Pour les distinguer des œuvres piochées dans les archives de la Fondation, Jérémy a inscrit les siennes dans des modules en bois peint, qui agissent comme des repères pour le visiteur.
Visite contée, atelier artistique et geocaching pour les enfants
Pour les enfants, la Fondation a prévu tous les vendredis une balade contée de l’exposition, qui abordera la notion de point de vue à travers le personnage d’un oiseau niché dans le Fort. Le 14 juillet, Jérémy Liron animera pour les familles un atelier de peinture en plein air. Enfin, pour profiter pleinement du jardin de la Fondation, un jeu de geocaching fera encore dialoguer les peintures de Jérémy avec l’environnement du Fort.
 
Paysage 251
Beaux Arts Magazine
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Des arbres aux silhouettes dansantes, dont les ombres dessinent des lignes au sol, se détachent sur un ciel lumineux et un paysage dont ils sont séparés par un pan de mur qui se poursuit hors cadre. Avec ce fragment de réalité, Jérémy Liron traduit les sensations d'une journée lumineuse, entre étrangeté, éblouissement et langueur. Et annonce la couleur de ce numéro double consacré aux immanquables de l'été. 
2025
Regarder, révéler. Dialogues entre peinture et photographie
du samedi 18 octobre 2025 au dimanche 22 février 2026
Musée Paul Dini, Villefranche sur Saône
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les frères Lumière, Jean-François Armbruster, Delphine Balley, Jean Batail, Charles Beauverie, Carole Benzaken, Blanc & Demilly, Paul Cabaud, Guenaëlle de Carbonnières, Jean-Marc Cerino, Marc Desgrandchamps, Irène Desvignes, Véronique Ellena, Anne-Sophie Emard, Jean-Baptiste Frénet, Jeremy Liron, Yveline Loiseur, Gabriel Loppé, Patrice Mortier, François-Auguste Ravier,
Jacqueline Salmon, Blandine Soulage, Jules Sylvestre, Félix Thiollier, Jean-Baptiste Tournassoud…
All over
vendredi 17 octobre 2025
Galerie Isabelle Gounod, Paris
Glen BAXTER, Juliette GREEN, Sophie KITCHING, Carolyn CARLSON, Jérémy LIRON, Elias LOUDIYI, Lenny REBERE, Michaële A. SCHATT, Leslie SMITH III, Claire Tabouret
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Paymages : images de paysages
du vendredi 19 septembre au samedi 20 décembre 2025
Musée Robert Dubois-Corneau, Brunoy (91)
Arthur Aillaud, Elisabeth Amblard, Abigail Ferreira-Compagnon, Nicolas Flo’ch, Marion-Laval Jeantet, Marine Joatton, Jean Le Gac, Jeremy Liron, Sandrine Morsillo , Antoine Perrot, Michel Verjux, Diane Watteau, Longjun Zhang
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Une exposition d’art contemporain en résonance avec les paysages du musée, en partenariat avec l’institut ACTE (Paris 1 Panthéon Sorbonne)
Avec Arthur Aillaud, Elisabeth Amblard, Abigail Ferreira-Compagnon, Nicolas Flo’ch, Marion-Laval Jeantet, Marine Joatton, Jean Le Gac, Jeremy Liron, Sandrine Morsillo , Antoine Perrot, Michel Verjux, Diane Watteau, Longjun Zhang.
L'art dans les chapelles
du vendredi 4 juillet au dimanche 31 août 2025
Pontivy
Commissaire : Eric Suchère. 
Diane Benoit du Rey, Marie Bette, Michel Gouéry, Gabrielle Herveet, Lucy Kerr (usa), Guillaume Linard-Osorio, Jérémy Liron, Gyan Panchal, Laurence Papouin, Nicolas Pilard, Laure Tiberghien, Brankica Zilović
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Vue(s), vigie, voisinages
solo show
du vendredi 27 juin au dimanche 27 juillet 2025
Fondation Renaud Fort de Vaise, Lyon
Exposition et sortie de résidence
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Pour cette exposition présentée au Fort de Vaise, Jérémy Liron propose un parcours pensé comme un dialogue entre architecture, regard et mémoire. Vue(s), vigie, voisinages interroge les points de vue qu’offre le Fort de Vaise sur son environnement et notamment sur le Fort Saint-Jean, situé en vis-à-vis de l’autre côté de la Saône.

Le visiteur est invité à déambuler entre œuvres et architectures, dans un itinéraire rythmé par des dispositifs en bois rouge, fils conducteurs discrets mais essentiels à la lecture de l’espace. L’exposition s’ouvre sur une maquette rouge brique, fusion imaginaire des deux forts, reliquaire de pensée et poste d’observation, habitée par un personnage aux jumelles qui accueille les visiteurs. Elle se poursuit par une succession de peintures qui prennent appui sur l’architecture du fort, tout en dialoguant avec les œuvres de Tony Garnier et de Pierre Renaud exposées à leurs côtés.Le parcours se prolonge dans les casemates, salles voûtées inscrites au cœur de l’architecture du Fort de Vaise. Les compositions, souvent centrées et cadrées à la manière de fenêtres, tissent des correspondances subtiles entre intérieur et extérieur. Le Fort Saint-Jean se dévoile ainsi au loin, prolongeant le jeu de regards entre espace représenté et espace traversé.
La dernière salle attire l’attention vers des paysages plus éloignés, presque étrangers. Des œuvres végétales de Jérémy Liron, dialoguent avec des toiles issues des collections, signées Thérèse Contestin ou Pierre Combet-Descombes. Malgré leur éloignement dans le temps et le contexte de création, ces œuvres se répondent par leurs feuillages, leurs clairières et leurs formes fragmentées du vivant.
L’exposition se construit comme une déambulation dynamique, où se retrouvent les motifs récurrents de l’œuvre de l’artiste : architecture, vues frontales, l’image dans l’image. Entre présence concrète et projection mentale, l’exposition invite à penser ce que signifie voir, observer, habiter un espace.

Dream paper 4
du jeudi 26 juin au samedi 2 août 2025
Galerie Masurel, Lyon
Flora Castiglia, Jeffrey Cheung, Sune Christiansen, Idir Davaine, Gabrielle Graessle, Rhys Lee, Gwendal Le Bec, Jérémy Liron, Maite y Manuel, Bruno Ollé, Julian Pace, Ricardo Passaporte, Luis Pérez Calvo et Motonori Uwasu
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Pour la quatrième année consécutive, la Galerie Masurel réunit une sélection d’artistes autour d’un format aussi simple que riche de possibilités : le papier. L’exposition collective Dream Paper 4 prolonge cette exploration libre, intuitive et vivante d’un support accessible, propice à toutes les expérimentations.

Chaque année, ce rendez-vous devient un laboratoire visuel, un espace d’échanges entre artistes confirmés et figures émergentes de la scène contemporaine. Cette nouvelle édition fait dialoguer les univers de Flora Castiglia, Jeffrey Cheung, Sune Christiansen, Idir Davaine, Gabrielle Graessle, Rhys Lee, Gwendal Le Bec, Jérémy Liron, Maite y Manuel, Bruno Ollé, Julian Pace, Ricardo Passaporte, Luis Pérez Calvo et Motonori Uwasu.

Leurs œuvres, traversées par la mémoire, la culture populaire, l’abstraction ou le langage du corps, composent une cartographie sensible du regard contemporain. Le papier devient ici terrain d’observation ou de fiction, support brut ou surface graphique, fragment de narration ou outil de résistance.

Cette contrainte du papier – librement interprétée – invite à la fois au jeu, à la rigueur, et à la liberté. Matériau accessible, mobile, familier, il incarne une volonté de rendre l’art plus proche, plus immédiat. Dans une époque saturée d’images numériques, Dream Paper propose un retour à la main, au geste, à la matière.

Petits formats ou grandes fresques, pages de carnet ou papiers industriels, dessin, collage, peinture, techniques mixtes : cette quatrième édition confirme le désir de la galerie de défendre une création contemporaine ouverte, joyeuse et sans hiérarchie de médium.

Année après année, Dream Paper s’impose comme un espace d’expression où les artistes, chacun à leur manière, réinventent le monde à partir d’une simple feuille.

Au-delà du visible
du vendredi 6 juin au dimanche 21 septembre 2025
Centre d'Art Contemporain de Carcassonne
Arnaud Adami, El Anatsui, Claude Allard-Bauret, Eric Baudart, Hans Bellmer, Ysmina Benabderrahmane, Adbelkader Benchamma, Gabriele Beveridge, Matthieu Boucherit, Christian Bonnefoi, Louise Bourgeois, Jean Camberoque, Jean Capdeville, Charles Cazanave, Willie Cole, Pascal Convert, Nicolas Daubanes, Gautier Deblonde, Hélène Delprat, Omar Victor Diop, Zhenjun Du, Alex Forton, Kepa Garraza, Kendell Geers, Prince Gyasi, Bilal Hamdad, Michel Journiac, Peter Klasen, Jérémy Liron, Joël Lorand, Eric Manigaud, Yann Masseyeff, Eugenio Merino, François Morellet, Jonathan Monaghan, Morris H.E, Barbara Navi, Günter Neupel, Eva Nielsen, Baptiste Rabicon, Jesse Reno, André Robillard, Jery Ruszcynski, Avelino Sala, Serghei, Lee Shulman, Jeanne Suspluglas, Claude Viallat, Yoann Ximenes
Détail
Format Paysage
du jeudi 30 janvier au samedi 22 mars 2025
Ceysson & Bénétière, Lyon

Jérémy Liron, Claire Chesnier, Tania Mouraud et Pierre Buraglio
Commissaire : Anne Favier

Détail

A partir du XVI° siècle, le paysage s’instaure en « genre pictural » – selon la classification académique – : les fonds des tableaux remontent vers les premiers plans et ouvrent de nouveaux champs iconiques. 

Structuré par le regard, le paysage est tout d’abord une opération de cadrage, une projection des dehors, une construction des lointains, une étendue imaginaire, un processus d’artification : voir le monde en paysages. Les artistes ne cessent de reconfigurer cette invention et de questionner les horizons de la fabrique du paysage.

Peindre d’après le genre paysage qui fait effraction dans les œuvres de Pierre Buraglio. L’artiste s’arrange pour mettre en pièce la dramaturgie du pittoresque et revenir au tableau. Il  décompose par exemple la mécanique de l’horizon : raccordés, montés, encadrés, deux pans se distinguent en plans et construisent l’illusion d’un panorama, mais simultanément, ils nous ramènent à la matérialité de leurs surfaces. D’autres pièces rapportées – cadres de sérigraphie tronqués, fragments de peintures de paysages glanées, repentirs d’architectures… – sont assemblées en paysages de peinture. Par ailleurs, les sections de châssis vitrés, montants/verres colorés – relèvent de paysages métonymiques et nous rappellent que « la fenêtre est le lieu du paysage. Le paysage a lieu dans la fenêtre ». Par la fenêtre, le « dehors » se fait paysage. La veduta est dès-lors enchâssée dans l’iconique porte de 2 CV, comme un cadre, comme un tableau. Elle contient la mémoire  (le « vécu » selon l’artiste) des paysages parcourus. Sa fenêtre qui a vu défiler les paysages qu’elle a recadrés est rehaussée de peinture. A sa surface, par recouvrement, les coups de pinceau filés à l’horizontale opacifient le plan vitré et font écran à l’illusion perspective. « L’horizon c’est la peinture » rappelle Pierre Buraglio. 

Chez Jérémy Liron, les lumineux ciels bleus comme des écrans picturaux tendus à la surface de la toile font écho à cette paradoxale « profondeur plate » chère à Buraglio. Liron partitionne également le paysage, il agence, syncope et fait décoïncider les plans, il dépeint le paysage comme architecture du regard. Le conventionnel format paysage est souvent renversé : dans les compositions verticalisées les éléments paysagés contrastés sont diversement recadrés par des structures qu’ils prolongent, débordent, redoublent. Cadres et fenêtres façonnent les Paysages de Jérémy Liron et surlignent leur rythmique géométrique. Parallèlement les motifs végétaux et organiques viennent perturber la quadrature de cette trame. L’artiste laisse aussi transparaitre aux bords des tableaux, le feuilletage des sous couches, les dessous de la peinture. Ainsi, les profondeurs représentées sont-elles rabattues en plans colorés à la surface de la représentation. Par endroits, le paysage en hors-champ est encore projeté en ombres et lumières.

Les photographies de l’ensemble Borderland de Tania Mouraud sont également des projections lumineuses du paysage environnant. Au milieu des champs, sur les bords des routes,  ce sont les ponctuations scintillantes de bottes de paille enrobées dans du plastique brillant qui ont attiré son regard. Leurs surfaces réfléchissantes opèrent comme des dispositifs photographiques. En recadrant en gros plan leurs surfaces photosensibles, Tania Mouraud éclipse la matière végétale en décomposition et dévoile, sur le motif, le paysage en contre-champ. Comme des peaux, leurs textures, froissées, plissées rappellent aussi les stries du pinceau. Les photographies pictorialistes de l’ensemble Borderland troublent les regards. Mise au point flottante du dispositif optique : le paysage se dissout en phénomènes lumineux impressionnistes. 

Le motif du paysage est encore suspendu dans les sillages des nappes de couleurs enchevêtrées à l’encre sur papier dans les œuvres de Claire Chesnier. Les lumineux champs colorés modulés de manière organique dissolvent tout point focal, et par là-même, tout repère spatial. A perte de vue, les encres effilées plein cadre, comme des fragments d’immensités diaphanes, s’ouvrent à la contemplation. L’expérience d’une profondeur de champ hors limite confère alors au sublime. « Je suis debout, face à ces grands panneaux, ces champs […] jouant de dégradés, de rivages, d’halos […]. Je bascule dans la sensation. Je perds la perception du sol. Gagne un vertige … », écrit Jérémy Liron. De ces abstractions verticales, à l’échelle du corps, affleurent des horizons liquides et l’impression d’évènements météorologiques pigmentaires qui se déploient, d’une œuvre à une autre. Au-delà de toute représentation, les étendues atmosphériques sont des paysages géologiques où les surfaces découvrent les stratigraphies diffuses de voiles de couleurs cristallisés qui rayonnent dans l’épaisseur du papier. 

Les œuvres de Pierre Buraglio, Claire Chesnier, Jérémy Liron et Tania Mouraud, mises en regard dans cette exposition, réinvestissent les lieux communs du paysage, en redéfinissent les points de vue et en dévoilent les hors-champs. 

2024
Artistes pour Madagascar
(5eme édition) vente caritative
du samedi 7 décembre 2024 au mardi 7 janvier 2025
sur fazasoma.org
Détail
Un trésor à la carte
vente caritative
mardi 3 décembre 2024
Lafayette Anticipations, Paris

Au profit de SOS Méditerranée et des Sauveteurs en mer

Détail
Au musée comme chez vous
40 ans d’artothèque à Villefranche-sur-Saône

du mardi 19 novembre 2024 au dimanche 16 février 2025
Musée Paul Dini, Villefranche-sur-Saône
Détail
Ce qui nous (re)lie

du samedi 16 novembre au samedi 14 décembre 2024
Le Cloître Art Contemporain, Lyon
Détail
Gal’art
exposition / vente caritative

du mercredi 13 au mardi 19 novembre 2024
Musée de Grenoble
Détail
Peindre la vallée de la Loue

Le Manoir, Black Box, Centre d’Art et villégiature, Moutier-Haute-Pierre
du samedi 19 octobre au dimanche 15 décembre 2024
Détail
Valse
solo show

du samedi 21 septembre au dimanche 17 novembre 2024
Centre d’art La halle des bouchers, Vienne

Commissaire : Bernard Collet, avec Anne Favier

Détail
Le jour des peintres
80 peintres contemporains de la scène française

jeudi 19 septembre 2024
Musée d’Orsay, Paris

Commissaires : Thomas Levy-Lasne et Nicolas Gausserand

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Un paysage(s)
du dimanche 14 juillet au dimanche 18 août 2024
Les tanneries, Autun

Commissaire : Martin Bruneau

Détail
Du cadre à la bordure
Colloque
du mardi 11 au mercredi 12 juin 2024
Université Lyon 2

Dialogue avec Anne Favier

Détail
Ce jour-là

du jeudi 6 juin au samedi 6 juillet 2024
Le cloître Art Contemporain, Lyon
Détail
L’oeil et le coeur #3

du jeudi 30 mai au dimanche 30 juin 2024
Galerie Françoise Besson, Lyon
Détail
Le dernier rivage
solo show

du jeudi 16 mai au samedi 13 juillet 2024
Galerie Isabelle Gounod, Paris
Détail
Photos : Rebecca Fanuele
MU
solo show
du samedi 4 mai au vendredi 2 août 2024
Galerie Eric Linard, La Garde Adhémar
Détail
Une phrase
solo show

du samedi 16 mars au dimanche 14 avril 2024
Orangerie du Château de Sucy-en-Brie

Commissaire : Hélène Launois

Détail
Nouvelles acquisitions

du vendredi 12 janvier au samedi 9 mars 2024
Médiathèque Bonlieu, artothèque Annecy
Détail
2023
20
du samedi 25 novembre 2023 au lundi 23 décembre 2024
Galerie Isabelle Gounod, Paris
Détail
A dessin 8

du samedi 11 novembre au dimanche 3 décembre 2023
Chapelle du Quartier Haut, Sète

et du 27 novembre au 3 décembre, Latelier, Sète

Détail
Voir en peinture
la jeune figuration en France
du vendredi 13 octobre 2023 au dimanche 3 mars 2024
Musée des Beaux Arts, Dole
Détail
Photo : H. Bertrand
La géométrie dans tous ses états
solo show

du samedi 8 juillet au dimanche 17 septembre 2023
Maison du Cygne, Centre d’Art, Six-Fours-les-Plages
Détail
In Lumine
du samedi 1 juillet au samedi 23 septembre 2023
Chapelle Saint-François-Xavier, Carcassonne

Collection Jacques Font

Détail
Lokart

du mercredi 21 juin au vendredi 15 septembre 2023
m21 Galleria, Pécs, Hongrie
Détail
Voir en peinture
la jeune figuration en France
du samedi 10 juin au dimanche 17 septembre 2023
Musée Estrine, Saint-Rémy-de-Provence
Détail
Et c’est assez, pour l’instant, qu’une si jolie ombre danse au bord de la fenêtre
solo show

du samedi 3 juin au samedi 15 juillet 2023
Galerie Isabelle Gounod, Paris
Détail
Photos : Rebecca Fanuele
Joue-la encore, Sam

du samedi 13 mai au samedi 8 juillet 2023
Centre d’Art Madeleine Lambert, Vénissieux

Collection municipale de Vénissieux

Détail
Mythologies contemporaines
du samedi 15 avril au dimanche 23 juillet 2023
Casa Restany, Amélie-les-Bains

Collection Jacques Font

Détail
Le toucher du monde

du samedi 18 mars au dimanche 17 septembre 2023
Musée Paul Dini, Villefranche-sur-Saône

Dialogue entre les collections du Frac Auvergne et le Musée Paul Dini de Villefranche-sur-Saône

Détail
Immortelle
du samedi 11 mars au dimanche 4 juin 2023
Mo.co, Montpellier

Commissaires : Numa Hambursin et Amélie Adamo

Détail
Voir en peinture
la jeune figuration en France
du dimanche 5 février au dimanche 28 mai 2023
MASC Musée de l’Abbaye Sainte-Croix, Les Sables d’Olonne

Commissariat : Anne Dary

Détail
Sur le fil

du samedi 28 janvier au dimanche 2 avril 2023
URDLA, Villeurbanne
Détail
Pendant que la nuit tombe
Solo show
du jeudi 12 janvier au dimanche 16 avril 2023
L’Abbaye, Fondation Salomon, Annecy-le-Vieux
Détail
2022
Calendrier de l’Avent
samedi 3 décembre 2022
façade de l’abbaye Saint André, Centre d’art contemporain, à Meymac

Exposition salle de la Pointe, dernier étage de l’Abbaye, du 3 décembre au 15 janvier

 

Détail
Photos : Aurélien Mole
Drawing market
pop-up d’éditions d’artistes

du jeudi 1 au jeudi 22 décembre 2022
drawing house, Paris
Détail
Retourner voir
du vendredi 18 novembre 2022 au dimanche 19 février 2023
H2M, Bourg-en-Bresse

Commissaire : Anne Favier

Détail
Réserve sans réserve n°13
du samedi 12 novembre 2022 au samedi 25 février 2023
galerie Eric Linard, La Garde-Adhémar
Détail
C’est la vie
en duo avec Frédéric Khodja

du dimanche 25 septembre au samedi 22 octobre 2022
Le cloître Art Contemporain, Lyon

Commissaire : Marie-Agnès Charpin

Détail
Le promontoire du songe

du dimanche 25 septembre 2022 au dimanche 15 janvier 2023
Frac Auvergne, Clermont-Ferrand
Détail
Paysages

du samedi 9 au dimanche 31 juillet 2022
L’espace, lieu d’art à Rognac (Haute-Loire)
Détail
Nécessité intérieure
extraits de la collection Jacques Font
du vendredi 8 juillet au dimanche 16 octobre 2022
Ancienne chapelle des armées, Casa Restany, à Amélie-les-Bains
Détail
VARIA, une approche subjective de la création contemporaine

du vendredi 8 juillet au mercredi 12 octobre 2022
Centre d’Art Contemporain, Meymac
Détail
Photo : Aurélien Mole
20 ans de Shakers

du samedi 18 juin au dimanche 18 septembre 2022
Château des Ducs de Bourbon, Montluçon
Détail
Marginalia, travaux sur papier
solo show

du samedi 4 au samedi 18 juin 2022
galerie Isabelle Gounod, Paris
Détail
Secrets de fabrique - Un été contemporain

du samedi 26 mars au dimanche 18 septembre 2022
Musée Paul-Dini, espace Cornil, Villefranche-sur-Saône
Détail
Devenu(s)/en devenir

du vendredi 25 mars au dimanche 22 mai 2022
L’angle Espace d’art contemporain, La Roche-sur-Foron
Détail
Dessins d’après
du mercredi 16 mars au samedi 2 avril 2022
galerie Ceysson & Bénétière, Saint-Étienne

Conférences et tables rondes les 23 et 24 mars, Cité d’art et du design de Saint-Étienne
Commissaire : Anne Favier

Détail
Les petites choses fragiles
du dimanche 13 février au samedi 16 avril 2022
médiathèque de Nègrepelisse

Commissaire : Odile Viale

Détail
2021
Vente de Noël

du mercredi 15 au vendredi 24 décembre 2021
URDLA, Villeurbanne
Détail
Un regard sur les créations modernes et contemporaines en Auvergne et Rhône-Alpes de 1800 à nos jours

du samedi 16 octobre 2021 au dimanche 27 février 2022
Musée Paul Dini, Villefranche-sur-Saône
Détail
In the shade
solo show

du samedi 7 août au jeudi 30 septembre 2021
galerie Eric Linard, La garde Adhémar
Détail
Photos : Philippe Petiot
Un goût de vacances

du samedi 10 juillet au dimanche 17 octobre 2021
Abbaye Saint-André, Centre d’Art Contemporain, Meymac
Détail
Paysages, entre représentation et imaginaire
du samedi 26 juin 2021 au dimanche 2 janvier 2022
Musée d’art contemporain de Montélimar
Détail
Les apparences
du dimanche 20 juin au mercredi 15 septembre 2021
Centre d’Art à Cent Mètres du Centre du Monde, Perpignan

Commissaire : Thomas Lévy-Lasne

Détail
Les parages
solo show

du samedi 12 juin au samedi 24 juillet 2021
galerie Isabelle Gounod, Paris
Détail
Drawing now alternative

du jeudi 10 au dimanche 13 juin 2021
Faubourg Saint-Antoine, Paris
Détail
Tangerine, Tangerine
solo show

du vendredi 21 au dimanche 23 mai 2021
Moments artistiques, Paris

Contre-événement, dimanche 23, en conversation avec Gilles A. Tiberghien

Détail
Le musée fête ses 20 ans

du mercredi 19 mai au dimanche 19 septembre 2021
Musée Paul Dini, Villefranche-sur-Saône
Détail
Archi-ville #1

du samedi 13 mars au dimanche 23 mai 2021
Villa Noailles, Hyères
Détail
Photos : Luc Bertrand
L’Œil du Coeur !
Collection Françoise Besson

du vendredi 26 février au samedi 10 avril 2021
galerie Françoise Besson, Lyon
Détail
Quelque chose de pourpre
solo show

du jeudi 21 janvier au mardi 30 mars 2021
galerie Telmah, Rouen
Détail
2020
Les heures
solo show

du samedi 7 novembre au dimanche 1 mars 2020
Orangerie du Musée de Sens
Détail
ce que nous gardons en mémoire après avoir cessé de regarder - Des déjà vus & de la part de l’ombre
solo show

du samedi 20 juin au dimanche 30 août 2020
Abbaye Saint-Florent-le-Viel, Mauges-sur-Loire
Détail
Les analogues

du samedi 20 juin au samedi 18 juillet 2020
galerie Isabelle Gounod, Paris
Détail
Nature et figure

du samedi 28 mars au dimanche 20 septembre 2020
Musée Paul Dini, Villefranche-sur-Saône
Détail
2019
Pérégrinations et contemplations : le paysage contemporain
du samedi 19 octobre 2019 au dimanche 16 février 2020
Musée Paul Dini, Villefranche-sur-Saône
En Résonance avec la Biennale de Lyon
Détail
Bienvenue en off de la Fiac

du jeudi 17 au dimanche 20 octobre 2019
galerie Isabelle Gounod, Paris
Détail
Une île
solo show

du vendredi 11 au dimanche 13 octobre 2019
château Saint-Marcel-de-Félines
Bilan de résidence
Détail
Avant bruits de langues
Colloque

jeudi 10 octobre 2019
Université de Poitiers
Détail
Dimension Supplémentaire avec Art Collector

du vendredi 4 octobre au mardi 5 novembre 2019
Salle Saint Martin, Souillac
Détail
Carnet de notes

du mercredi 25 septembre au dimanche 6 octobre 2019
Les Loins pays, Lyon
Détail
Ricochets
Textes, images et correspondances

du samedi 29 juin au dimanche 7 juillet 2019
Les Loins pays, Lyon
Détail
C’est bien sûr l’horizon, mais ce sont surtout les cloisons
volet 2
du samedi 30 mars au samedi 1 juin 2019
galerie Eric Linard, La Garde-Adhémar
Détail
20 ans

du vendredi 15 au samedi 16 mars 2019
Galerie des Jours de Lune, Metz
Détail
Pente douce (une rétrospective)
solo show

du vendredi 8 mars au mardi 30 avril 2019
H du Siège, Valenciennes
Détail
les mocos
du jeudi 7 mars au samedi 4 mai 2019
galerie du Canon, Toulon
Détail
Mémoire d’architecture
du vendredi 8 au vendredi 22 février 2019
6B, Saint-Denis
Commissaire: Aurélie Barnier
Détail
2018
Souk de Noël

du mardi 18 décembre 2018 au samedi 12 janvier 2019
URDLA, Centre International de l’Estampe, Villeurbanne
Détail
Molécule brutaliste
avec Anthony Squizzato
du jeudi 15 novembre au lundi 10 décembre 2018
lieu d’art Le trampoline, Vic-le-Comte
Dimitri Vazemsky
Détail
le MUR
solo show

du vendredi 2 novembre au dimanche 2 décembre 2018
MUR (modulable urbain réactif), Saint-Étienne
Détail
Les éditions de l’atelier contemporain ou le miroir des arts et de la littérature
Rencontre
vendredi 28 septembre 2018
Rencontre remue.net, proposée et animée par Sébastien Rongier
avec Odile Massé, Jérémy Liron, Nicolas Pesquès & François-Marie Deyrolle
Détail
Art protects - Aides

du samedi 8 au dimanche 9 septembre 2018
librairie Yvon Lambert, Paris
Détail
Campagne-première
du samedi 7 au dimanche 8 juillet 2018
Revonnas
Commissariat : Fanny Robin
Détail
Et le vent, soufflant dans le béton, soudainement
du samedi 30 juin au vendredi 7 septembre 2018
lieu d’art Le trampoline, Vic-le-Comte
Commissariat : Dimitri Vazemsky
Détail
Recto/verso
vente au profit du Secours populaire français
du jeudi 14 au dimanche 24 juin 2018
Fondation Louis Vuitton, Paris
Détail
Fantômes
du jeudi 24 mai au samedi 16 juin 2018
Progress gallery, Paris
Commissariat : Alexandre Mare
Détail
C’est bien sûr l’horizon mais ce sont surtout les cloisons
du vendredi 6 avril au samedi 2 juin 2018
galerie Françoise Besson, Lyon
Commissariat : Frédéric Khodja
Détail
Un été contemporain, Jacques Truphémus et Jérémy Liron. Les silences de la peinture
du vendredi 16 mars au dimanche 16 septembre 2018
musée Paul Dini, Villefranche-sur-Saône
Détail
Sur la page, abandonnés

du jeudi 25 janvier au jeudi 1 février 2018
Au lieu, éditions extensibles, Paris
Détail
2017
Première ! Margery Clay, Janos Ber, Jeremy Liron, Marek Szczesny
du lundi 11 décembre au samedi 29 juillet 2017
galerie du Canon, Toulon
Détail
Tacet
solo show

du samedi 2 décembre 2017 au samedi 13 janvier 2018
galerie Isabelle Gounod, Paris
Détail
Photos : Rebecco Fanuele
Prix André et Berthe Noufflard

du lundi 20 au samedi 25 novembre 2017
espace Thorigny, Paris
Détail
Vendange tardive

du dimanche 12 novembre 2017 au dimanche 14 janvier 2018
Centre d’Art Contemporain, Meymac
Détail
2×5+1 Art Collector
du jeudi 9 novembre au samedi 23 décembre 2017
Patinoire Royale / galerie Valérie Bach, Bruxelles

avec Iris Levasseur, Jérémy Liron, Christine Barbe, Clément Bagot, Karine Rougier, Claire Chesnier, Eva Nielsen, Abdelkader Benchamma, Olivier Masmonteil, Massinissa Selmani et Medhi Georges Lalhou
Commissaires : Philippe Piguet et Valérie Bach

Détail
Bouquets de vieux pinceaux

dimanche 15 octobre 2017
Biennale de Lyon / Fondation Bullukian, Lyon
Intervention dans l’installation Living room de Lee Mingwei
Détail
Rencontre avec Jeremy Liron et Aurore Pallet

dimanche 27 août 2017
Chamalot Résidence d’artistes
Détail
Le paysage en question
du samedi 8 juillet au dimanche 26 novembre 2017
Centre d’art contemporain de Châteauvert
Aillaud, Bioulès, De Malherbe, Kimura, Kirkeby, Liron, Plagnol, Van Den Broek
Commissaire : Gilles Altieri
Détail
Jeremy Liron, mélancolie des paysages
solo show

du jeudi 29 juin au vendredi 13 octobre 2017
galerie Andersen & associés, Luxembourg
Détail
Objects/words Books/letters Plasticity #2
avec Dimitri Vazemsky et Antony Squizzato
du vendredi 31 mars au mardi 2 mai 2017
maison Folie de Wazemmes, Lille
Détail
Changer l’école c’est possible
conférence avec Jérôme Saltet
mardi 28 mars 2017
Confluence des savoirs, grand amphithéâtre université Lumière Lyon 2
Détail
Un été contemporain - vagabondage

du samedi 18 mars au mardi 19 septembre 2017
musée Paul Dini, Villefranche-sur-Saône
Détail
Spring Break
du samedi 18 mars au samedi 15 avril 2017
galerie Isabelle Gounod, Paris
Détail
2016
Exposition-vente de Noël

du jeudi 15 au vendredi 30 décembre 2016
URDLA, Villeurbanne
Détail
Art is hope

du samedi 10 au samedi 17 décembre 2016
annexe galerie Perrotin, Paris
Détail
galeristes

du jeudi 8 au samedi 10 décembre 2016
Stand de l’URDLA, Carreau du Temple, Paris
Détail
Epreuves uniques

du lundi 28 novembre au samedi 17 décembre 2016
atelier Michael Woolworth, Paris
Détail
Novembre à Vitry

du samedi 19 novembre au dimanche 18 décembre 2016
galerie municipale Jean Collet, Vitry
Détail
5×2
du lundi 14 novembre au samedi 3 décembre 2016
ArtCollector Patio Art Opéra, Paris
Commissaire : Philippe Piguet
Détail
A dessin 2
du jeudi 10 au samedi 12 novembre 2016
Atelier spirale, chapelle du quartier haut, Sète
Détail
Figures
solo show
du vendredi 4 novembre au samedi 10 décembre 2016
L’angle, La Roche-sur-Foron
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L’artothèque invitée

du jeudi 27 octobre 2016 au dimanche 29 janvier 2017
Musée des Beaux-Arts de Caen
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Avec eux

du samedi 22 octobre au samedi 31 décembre 2016
Palais Ducal Artothèque de Caen
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Workshop à l’URDLA

du samedi 15 au dimanche 16 octobre 2016
stage de gravure à l’URDLA, Villeurbanne
Détail
Art Protects Aides & Yvon Lambert

du vendredi 23 au samedi 24 septembre 2016
Espace Fondation EDF, Paris
Détail
Bati/debati
avec Amandine Capion
du vendredi 24 juin au samedi 16 juillet 2016
galerie La porte étroite, Toulon
Invitation de Gilles Boudot
Détail
Exposition La petite collection

du jeudi 26 au vendredi 27 mai 2016
galerie White project, Paris
Détail
Art Athina

du jeudi 26 au dimanche 29 mai 2016
galerie Laureen Thomas, Athènes
Détail
3 jours en mai
avec les éditions A/Over

du jeudi 26 au dimanche 29 mai 2016
galerie Metamorphik, Sainte-Foy-lès-Lyon
Détail
Le pavillon des sources

du samedi 21 au dimanche 29 mai 2016
Le triangle des Bermudes, Diedendorf
Commissariat : François Génot
Détail
Workshop à Moly Sabata

du samedi 21 au dimanche 22 mai 2016
Fondation Albert Gleizes à Sablons
Détail
Salon du livre rare et de l’estampe
avec les éditions Unes

du vendredi 22 au dimanche 24 avril 2016
Grand Palais, Paris
Détail
DDessin Paris Contemporary Drawing Fair

du vendredi 1 au dimanche 3 avril 2016
La petite collection, Atelier Richelieu, Paris
Détail
Drawing Now

du mercredi 30 mars au dimanche 3 avril 2016
Salon du dessin contemporain, galerie Isabelle Gounod, Carreau du temple, Paris
Détail
Peintures

du samedi 12 mars au samedi 23 avril 2016
galerie Isabelle Gounod, Paris
Détail
Les archives du désastre
solo show

du samedi 20 février au samedi 12 mars 2016
Studio galerie Isabelle Gounod, Paris
Détail
L’infinie distance des choses dans leur temps
solo show
du lundi 1 février au samedi 26 mars 2016
Fondation Bullukian, Lyon
Détail
Salon de l’édition d’art
avec les éditions L’atelier contemporain

vendredi 1 janvier 2016
Fondation Fernet Branca, Saint-Louis
Détail
2015
100x100x100

du samedi 28 novembre au mercredi 23 décembre 2015
URDLA, Villeurbanne
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Novembre à Vitry

du dimanche 15 novembre au dimanche 13 décembre 2015
galerie Jean-Collet, Vitry
vernissage et prix le 21 novembre
Détail
recto/verso

expo/vente au profit du Secours populaire français

du mardi 10 au dimanche 15 novembre 2015
Fondation Vuitton, Paris
Détail
Exposition/vente caritative France Inde Karnataka

du mercredi 4 au lundi 9 novembre 2015
PIASA, Paris
Détail
Carnets d’été

du samedi 19 septembre au jeudi 5 novembre 2015
galerie Louise, Pré-Saint-Gervais
Détail
Prima u mare

du jeudi 30 au vendredi 31 juillet 2015
Chapelle d’Erbalunga, Corse
Détail
Des notes offertes au silence
projection et discussion avec Léa Bismuth
lundi 22 juin 2015
galerie Isabelle Gounod, Paris
Détail
Méditerranée & architecture
Collection l’Hôtel des Arts hors les murs

du samedi 13 juin au dimanche 29 novembre 2015
Centre d’art contemporain de Chateauvert
avec Gabriele Basilico, Céline Boyer, Stéphane Couturier, Philippe De Gobert, Günther Förg, Lucien Hervé, Jacqueline Salmon et Massimo Vitali
Détail
retourner le regard
du vendredi 12 au dimanche 28 juin 2015
ateliers Vortex, Dijon
Détail
Photos : Cécilia Philippe
vente Artcurial Autistes sans frontières

jeudi 11 juin 2015
maison Artcurial, Paris
Détail
art athina

du jeudi 4 au dimanche 7 juin 2015
foire d’art contemporain d’Athènes, galerie Laureen Thomas, Athènes
Détail
+++
solo show

du jeudi 4 juin au vendredi 29 mai 2015
galerie des jours de lune, Metz
Commissariat : Viviane Zenner
Détail
histoire de prendre son temps
Fond Shakers

du samedi 23 mai au dimanche 30 août 2015
Château des Ducs de Bourbon, Montluçon
Détail
Immersion
du samedi 25 avril au dimanche 17 mai 2015
Centre d’Art Contemporain de Lacoux
Détail
le paysage
lectures, dédicaces et entretien

du vendredi 10 au dimanche 12 avril 2015
Le Leé, Metz
avec Emilien Sarot et en collaboration avec Le livre à Metz
Détail
territoires & architectures
collections du CG du Var et du Frac PACA

du vendredi 6 février au samedi 14 mars 2015
centre culturel, Saint-Raphaël
Détail
2014
Plasticity
du lundi 8 décembre 2014 au dimanche 12 avril 2015
Hospice d’Havré, Tourcoing
Commissariat : Dimitri Vazemsky
Détail
Art Protects Aides

du mercredi 19 au jeudi 20 novembre 2014
galerie Yvon Lambert, Paris
Détail
Parcours d’artistes
du mardi 4 novembre au vendredi 12 décembre 2014
La passerelle, Pontault-Combault
Détail
Atmosphères contemporaines
Collections de l’Hôtel des Arts hors les murs

du samedi 25 octobre au samedi 6 décembre 2014
Chapelle de l’observance, Draguignan
Détail
FIAC (OFF)ICIELLE
du mercredi 22 au dimanche 26 octobre 2014
Citée de la mode et du design, Paris
avec Maude Maris, Pierre-Alexandre Rémy, Jérémy Liron
Détail
Déployer l’instant/parcourir la mémoire
solo show
du vendredi 13 juin au samedi 27 septembre 2014
Artothèque de Caen
Détail
Hypnagogies
solo show
du samedi 24 mai au samedi 19 juillet 2014
galerie Isabelle Gounod, Paris
Détail
Exposition hors les murs de la collection de l’Hôtel des Arts

du samedi 26 avril au jeudi 19 juin 2014
médiathèque du Cannet, Le Cannet-des-Maures
avec Gabriele Basilico, Lucien Hervé, Gunther Forg
Détail
Sur le toit
Drawing Now, Salon du dessin contemporain
du mercredi 26 au dimanche 30 mars 2014
galerie Isabelle Gounod, Carreau du temple, Paris
Détail
Passages
du mercredi 26 mars au lundi 30 juin 2014
Fondation Bullukian, Lyon
Détail
Un été contemporain
du samedi 22 mars au dimanche 14 septembre 2014
Musée Paul Dini, Villefranche
Détail
Quoi de neuf ?
acquisitions récentes
du vendredi 17 janvier au samedi 29 mars 2014
Artothèque de Caen
avec Dominique Bailly, Léo Dorfner, Romuald Dumas-Jandolo, Jean Lain, Léa Lebricomte, Naji Kamouche, Olivier Leroi, Jérémy Liron, Maude Maris, Annette Messager, Françoise Pétrovitch, Assan Smati, Maxime Touratier
Détail
2013
Formats raisin - Vendanges tardives

du samedi 7 décembre 2013 au dimanche 5 janvier 2014
Galerie Martagon, Malaucène
Détail
Formats raisin - Les vendanges sont finies

du samedi 26 octobre au dimanche 24 novembre 2013
Galerie Martagon, Malaucène
Détail
Salon du livre d’artiste
avec Armand Dupuy
du samedi 1 au dimanche 2 juin 2013
Bruxelles
Détail
Secrets et parcours
Collection de la CCI Marseille Provence

du jeudi 2 mai au mercredi 12 juin 2013
Palais de la Bourse, Marseille
Détail
Drawing Now
 / Salon du dessin contemporain
galerie Isabelle Gounod, Carrousel du Louvre, Paris
du jeudi 11 au samedi 13 avril 2013
Détail
2012
Exposition de noël

du dimanche 2 au dimanche 30 décembre 2012
ancien musée de peinture, CNAC Le Magazin, Grenoble
Détail
Pavillon
du samedi 6 octobre au samedi 8 décembre 2012
galerie Domi Nostrae,Lyon
avec Jean-Luc Blanchet, Nina Childress, Philippe Cognée, Marc Desgrandchamps, Jeremy Liron, Emily Peythieu
Détail
Le récit absent
art [ ] collector
du lundi 17 au jeudi 27 septembre 2012
Studio le Patio, Paris Opéra
Exposition et événements
Détail
L’Inquiétude
du samedi 8 septembre au jeudi 25 octobre 2012
galerie Isabelle Gounod, Paris
Détail
Parce que la carte est plus importante que le territoire (3), les architectures légères
du vendredi 11 mai au dimanche 3 juin 2012
Le pays où le ciel est toujours bleu, Orléans
avec Isabele Cornaro, Paul Devarieux, Yoan Friedman, Jérémy Liron et Cannelle Tanc
Détail
Maisons folles

du samedi 14 au dimanche 15 avril 2012
parcours dans 15 maisons particulières, Ronchin
Détail
Drawing Now - Salon du dessin contemporain

du jeudi 29 mars au dimanche 1 avril 2012
Carrousel du Louvre, Paris
Détail
Paris-Martigny (2) : parce que la carte est plus importante que le territoire

du samedi 25 février au dimanche 1 avril 2012
Fondation Louis Moret, Martigny, Suisse
Détail
Les territoires
du lundi 9 au samedi 28 janvier 2012
galerie de l’école d’art, Château du Gros Buisson, Vigneux-sur-Seine
Conférence mercredi 10 janvier à 19h00
Détail
2011
Jérémy Liron
du samedi 29 janvier au dimanche 13 mars 2011
Hôtel des Arts, Toulon
Détail
Jérémy Liron
2010
Parades
Lecture
dimanche 12 décembre 2010
La Maison Rouge, Fondation Antoine de Galbert, Paris
Lecture avec Sophie Gaucher et Dimitri Vazemski, éditions Nuit Myrtide
Détail
Offrez l’art de demain
récolte 2010
du samedi 27 novembre 2010 au vendredi 11 février 2011
URDLA, Villeurbanne
Exposition d’estampes d’Éric Corne, Jérémy Liron, Myriam Mechita, Sylvie Pic, Elin O’hara Slavick, Assan Smati, Alex Tennigkeit, Sarah Tritz
Détail
Slick ’10

du mardi 19 au dimanche 24 octobre 2010
esplanade Palais de Tokyo / Musée d’Art Moderne, Paris
Détail
Jérémy Liron, achevé d’imprimer

jeudi 15 juillet 2010
URDLA, Villeurbanne
Présentations des travaux d’estampe réalisés pendant la résidence
Détail
Dans la solitude
solo show
du mercredi 19 mai au samedi 24 juillet 2010
Galerie Isabelle Gounod, Paris
+ lecture « l’humble usage des objets » vendredi 3 juillet 18h30
Détail
Son filetage mord dans la matière et sa tête tient l’assemblage #2 et voilà le travail 
du jeudi 13 mai au samedi 26 juin 2010
Galerie SMP, Marseille
Commissariat : Josué Rauscher
Détail
Son filetage mord dans la matière et sa tête tient l’assemblage #1 Système B
du vendredi 16 avril au samedi 8 mai 2010
Galerie SMP, Marseille
Commissariat : Josué Rauscher
Détail
12 peintures
du jeudi 4 mars au samedi 17 avril 2010
Galerie 5, Angers
Détail
Fond Shakers

du vendredi 29 janvier au vendredi 12 février 2010
Iufm, Moulins
Détail
2009
Suites urbaines : parcours et détours
du vendredi 4 au vendredi 18 décembre 2009
Urban Gallery, Marseille
Détail
Exposition / prix Jean Chevalier
du jeudi 29 octobre au samedi 7 novembre 2009
Galerie Houg, Lyon
Détail
Lyon/Béthune
du jeudi 15 octobre 2009 au dimanche 31 janvier 2010
Labanque, Béthune
Détail
Docks art fair en off de la Biennale de Lyon
du lundi 14 au dimanche 20 septembre 2009
Galerie Isabelle Gounod, La Sucrière, Lyon
Détail
Journées de la bibliophilie
du samedi 12 au dimanche 13 septembre 2009
Lourmarin
Détail
Salon International du Livre et de l’Estampe
du jeudi 18 au dimanche 21 juin 2009
Grand Palais, Paris
Détail
Exposition retrospective du Fond Shakers
du jeudi 28 mai au samedi 20 juin 2009
FAL, Clermont-Ferrand
Détail
erre(s)
du lundi 4 mai au vendredi 19 juin 2009
salle d’exposition de l’iufm, Chaumont
Détail
SxS dans R
Exposition du réseau Artskool (2ème volet)

du jeudi 30 avril au jeudi 14 mai 2009
Galerie Jeune Création, Paris
Détail
Et comment cet impalpable de l’espace se loge en nous comme nous logeons en lui
du samedi 11 au samedi 25 avril 2009
Zan Gallery, Sèvres
Sur une proposition de Florent Lamouroux, communication par Estelle Petit
Détail
SxS dans R
Exposition du réseau Artskool
du samedi 11 au samedi 25 avril 2009
La Générale en Manufacture, Sèvres
Détail
Tracés
du mardi 17 mars au samedi 25 avril 2009
Galerie Isabelle Gounod, Paris
Détail
Jeremy Liron
du jeudi 5 au jeudi 26 mars 2009
Espace d’art l’Adagio, Thionville
Détail
Et pour toi c’est quoi l’art ?
Collectif entrez sans frapper
du lundi 2 mars au jeudi 30 avril 2009
La Générale en Manufacture, Sèvres
Détail
Notre combat 
du mardi 13 janvier au samedi 28 février 2009
Forum Meyrin, Genève
Projet et exposition menés par Linda Ellia
Détail
Et pour toi c’est quoi l’art ?
Collectif entrez sans frapper
samedi 10 janvier 2009
Médiathèque d’Empalot, Toulouse
Détail
2008
Exposition retrospective du Fond Shakers
du samedi 22 novembre au dimanche 21 décembre 2008
fonds d’Art Moderne et Contemporain, espace Boris Vian, Montluçon
Détail
Biennale de Bourges, Panorama jeune création
du vendredi 14 au lundi 17 novembre 2008
Palais d’Auron, Bourges
Détail
Vente au profit du Mouvement pour la Réinsertion Sociale
jeudi 13 novembre 2008
Maison de l’Amérique Latine, Paris
Par Pierre Cornette de Saint-Cyr et Henri Jobbé-Duval
Détail
Show Off
du mercredi 22 au samedi 25 octobre 2008
galerie Isabelle Gounod, Espace Pierre Cardin, Paris
Détail
Invité d’honneur de l’exposition/acquisitions de la CCI Marseille Provence
lundi 22 septembre 2008
Grand Hall du Palais de la Bourse, Marseille
Détail
Atelier XIV
du lundi 15 septembre au vendredi 17 octobre 2008
La Source, La Gueroulde
Commissaire : Guillaume Garouste
Détail
Suite

du jeudi 26 juin au samedi 26 juillet 2008
Galerie Isabelle Gounod, Paris
+ lecture publique à la galerie en duo ‘le livre l’immeuble le tableau’ samedi 5 juillet, 18h
Détail
Construisons l’avenir
du mardi 29 avril 2008 au mercredi 29 avril 2009
Fondation Cari, Carros
Détail
Draw In
du mardi 15 au dimanche 27 avril 2008
00130 Gallery, Helsinki, Finland
Détail
Projection de votre fenêtre
samedi 15 mars 2008
Centre d’Art la Ferme du Buisson, la Piscine, Marne-la-Vallée
Détail
Hôtel de la mer
du vendredi 14 mars au samedi 3 mai 2008
Galerie Isabelle Gounod, Boulogne-Billancourt
Détail
La majeure partie de son temps à inventer par petites parcelles les souvenirs exacts de ce qui ne cesse de continuellement nous échapper
du vendredi 4 janvier au dimanche 10 février 2008
Orangerie du Château de la Louvière, Montluçon
Détail
2006
Novembre à Vitry
du dimanche 19 novembre au dimanche 17 décembre 2006
Galerie Municipale, Vitry-sur-Seine
Détail
Grand Prix de Saint-Grégoire
du dimanche 19 novembre au dimanche 3 décembre 2006
Centre de la Forge, Saint-Grégoire
Détail
Première vue - 5ème édition
du samedi 16 au dimanche 24 septembre 2006
Passage de Retz, Paris
Commissaire : Michel Nuridsany
Détail
lagrandevie
du lundi 22 au mercredi 24 mai 2006
Galerie droite/gauche, Paris
Détail
L’éphémère, le fugitif, le multiple
51ème Salon de Montrouge
du jeudi 27 avril au mercredi 17 mai 2006
Montrouge
Détail
Landscape(s)
du dimanche 15 janvier au samedi 25 février 2006
Galerie Isabelle Gounod, Boulogne-Billancourt
Détail
2005
Monte dans la voiture, on se casse !

du dimanche 20 au mardi 22 novembre 2005
Galerie droite/gauche, Paris
Détail
Vente 100 artistes
du vendredi 7 au samedi 8 octobre 2005
Hôtel Drouot, Paris
Commissaire : Ader/KJCréa
Détail
Le quotidien transfiguré
du mardi 30 août au vendredi 30 septembre 2005
Détail
Some still feed the animals
du mercredi 15 juin au vendredi 15 juillet 2005
Cabinet Archiyulzari, Paris
Détail
Portes Ouvertes - atelier Bustamante
du lundi 6 au mardi 7 juin 2005
Ensba, Paris
Détail
2004
Portes Ouvertes Ensba
mardi 1 juin 2004
Ensba, Paris
Commissaire : Patrick Corillon
Détail
En cours
Regarder, révéler. Dialogues entre peinture et photographie
Regarder, révéler. Dialogues entre peinture et photographie
18/10/2025 – 22/02/2026
Musée Paul Dini, Villefranche sur Saône
Exposition
All over
All over
18/10/2025
Galerie Isabelle Gounod, Paris
Glen BAXTER, Juliette GREEN, Sophie KITCHING, Carolyn CARLSON, Jérémy LIRON, Elias LOUDIYI, Lenny REBERE, Michaële A. SCHATT, Leslie SMITH III, Claire TABOURET

 
Paymages : images de paysages
Paymages : images de paysages
19/09 – 20/12/2025
Musée Robert Dubois-Corneau, Brunoy (91)
Exposition
À venir
A dessin
A dessin
15 – 30/11/2025
Chapelle du quartier haut, Sète
Le goût du bleu
Le goût du bleu
08 – 29/11/2025
Le cloître art contemporain, Lyon 1
Coline Bublex, Martin Caminiti, Patrick Condouret, PIerre David, Coralie Duponchel, Wandrille Durufle, Frédéroque Fleury, Laurent Galland, Jean-Lucien Guillaume, Rémy Jacquier, Reza Kabirinia, Frédéric Khodja, Per Lamdahl, Lionel Lathuille, Jérémy Liron, Pascal Michalon, Yves Millecamps, Suan Muller, Olivier Nottelet, Delphine Passadori, Gabriel Retif, Jean Reudet Santos, Fabio Viscogliosi

Né en 1980 à Marseille
Vit et travaille actuellement à Lyon
Référencé par Documents d’Artistes Auvergne-Rhône-Alpes
Représenté par la galerie Isabelle Gounod (Paris) et collabore avec la galerie Eric Linard (La Garde Adhémar) et Ceysson & Bénétière
contact@galerie-gounod.fr
contact@lironjeremy.com

Résidences
  • Fondation Renaud Fort de Vaise, mas/mai 2025
  • Étretat, avec Terres de paroles et Le révélateur, juillet-octobre 2020
  • Saint-Marcel-de-Félines, juillet-août 2019

  • Chamalot en Correze, août 2017

  • Vortex à Dijon, mai 2015

  • CACL à Hauteville-Lompnes, avril 2015

  • ECLATS à Caromb, février et juillet 2013, 2014, 2015

  • URDLA, centre international de l’estampe à Villeurbanne, juillet 2010

  • La Source à la Guéroulde, avril/juin 2008

  • Shakers à Montluçon, septembre/février 2007/2008

  • L’H du Siège à Valenciennes, avril/juin 2007

  • Mains d’Œuvres / Réseau Artskool à Saint-Ouen, 2007

Prix et Bourses
  • Lauréat Art[ ]Collector, Paris, 2012
  • Aide à la création, DRAC Rhône-Alpes, 2012

  • 1er prix CCIMP Marseille, 2008

  • Lauréat Arts Plastiques Groupe Paris-Lyon, 2025
Collections
  • Collections privées

  • Collection Shakers

  • Collection CCI Marseille Provence

  • Collection Hôtel des Arts/CG du Var

  • Collection Fondation Colas

  • Collection Ville de Lyon

  • Collection Artothèque de Caen

  • Collection Ville de Vénissieux

  • Collection Musée Paul Dini à Villefranche-sur-Saône

  • Collection Société Générale Paris

  • Collection Artothèque de Villefranche-sur-Saône

  • Collection Fondation Salomon

  • Collection Artothèque du Lot

  • Collection Artothèque d’Angers

  • Collection Artothèque Les Dominicains, à Pont-Lévêque

  • Collection Atothèque Lyon Part-Dieu

  • Collection Frac Auvergne
  • Collection Ville de Six-Fours-les-Plages
  • Collection Artothèque d’Annecy
Titres & Diplômes
  • AGRÉGATION arts plastiques, juillet 2007 (Centre Saint-Charles, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)

  • CAPES arts plastiques, juin 2007 (Centre Saint-Charles, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)

  • Diplômé DNSEP à l’Ensba Paris en 2005 (tuteur : J-M. Bustamante, président : D. Vermeiren)

  • Diplômé DNAP à l’ebat(s) Toulon en 2003 (tuteur : F. Clavère, président : F. Valabrègue)
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